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Dys et kinésiologie spécialisée 2  

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cricri
(@cricri)
Membre éminent

bonjour,

A la lecture de vos dernier post, et sans juger, je pense que j'essaierai de travailler en duo avec des neuro-psys _ s'il y a des possibilites inexploitées de recuperation, c'est le moment de monter au creneau plutot que de rester dans le meme schema conventionnel qui frustre chacun.

Autre point : Il faut rétablir les connexions. Là, peu de mes collègues ont fait les mêmes formations que moi. Quand ils l'ont fait ils ne les utilisent pas forcément. Ils ne comprennent pas leur importance.

cela sous -entend que la formation reste obscure pour bon nombre de vos collegues ... doit on conclure qu'ils sont comme nous parents, tres conventionnels dans leur demarche?

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Posté : 29/07/2008 11:20
AnneNhauneem
(@AnneNhauneem)
Membre de bonne réputation

petit bémol joray,

on est ici prèt à recevoir,

et on te demande d'en dire plus,

dès que l'on veut en savoir plus tu freines,

tu nous racontes que cela ne s'explique pas

tu nous racontes que c'est ta pratique.

Tu n'aurais rien inventé tu dis,et pourtant tes références tu ne les fournis pas

tu parles toujours dans le vague.

je suis convaincu d'une part de résultat, une part de bénéfices avec la kinésiologie,

pour autant on reste toujours sur sa faim,

j'ai acheté un bouquin de kinésiologie,

beaucoup de vide,

une fois qu'on fait un grand huit horizontal on a fait fait le tour du circuit kinésio.

Vas-y joray fais nous réver.

Je t'assure qu'on est prèt.

Je suis d'ailleurs bien assis , vas-y, développe,

tes phrases sur le fond représente combien de tes messages,

lache-toi

ou bien gardes-tu tes infos parce que c'est ton gagne pain?

Au moins en orthophonie, en cognitif, en pédagogie,

d'accord ou pas d'accord,

mais il y a matière à discuter.

Seules les fausses sciences comme la psychanalyse sont iréfutables.

Pas la kinésio, OK vas-y alors

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Posté : 29/07/2008 11:26
Claude
(@Claude)
Membre noble

J'adore Joray ! Moi qui ai milité sur ce site pour qu'on y laisse une place pour les méthodes non reconnues, moi qui ai tenté la méthode de Lisbonne et témoigné envers et contre tous de l'utilité d'un autre type de rééducation, d'une autre approche.. avec toutes les précautions qu'il faut contre les charlatans et les profiteurs. Bref, continuez à travailler, mais ne nous mettez pas la psychanalyse sur le tapis, ça je ne marche plus dedans, trop de dégâts pendant des dizaines d'années sur les enfants et les adultes sans résultat.

Annehauneem vous demande des faits scientifiques et je comprends que vous ayez du mal à en donner, c'est comme avec l'ophtalmoposturologie, on a des témoignages, pas de résultat scientifiquement mesurable du "comment ça marche", mais ça n'empêche pas de continuer si la piste est bonne. Il en faut de la volonté, Robichon et Quercia s'y sont brûlé les ailes, mais ce sont des pionniers et ils font avancer les choses, comme vous pourrez les faire avancer si les psycho-psycha ne vous embobinent pas avec leurs théories tordues.

Bon courage !

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Posté : 29/07/2008 2:49
AnneNhauneem
(@AnneNhauneem)
Membre de bonne réputation

"Annehauneem vous demande des faits scientifiques "

je suis beaucoup moins gourmand que cela,

joray parle beaucoup pour nous raconter qu'il ne peut rien dire,

qu'il l' a déjà dit,

il en raconte des tonnes sur l'air de "on ne m'écoute pas", presque limite complot,

vous savez bien pourquoi,...

et nous comme des andouilles on attend toujours qu'il mette du fond,

j'aimerai toucher le fond 🙂

Que ce fond soit à base d'exemples individuels, mais ce qu'il a fait, pourquoi il l' a fait, ce que cela a donné.

J'ai peut-ètre raté l'occasion sur le témoignage de soffione, mais elle avait quoi, joray a fait quoi, etc

Message édité par : AnneNhauneem / 29-07-2008 16:57

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Posté : 29/07/2008 6:56
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Cricri, dans toute formation on est plus ou moins réceptif en fonction de nos intérêts. Une vendeuse de produits bio me disait que sa fille avait fait une ou deux années de médecine. Elle avait entendu les professeurs parler de l'importance de l'alimentation, pas ses amies ! Ceci est naturel. De plus, j'enregistre tous les cours et je les retranscris (j'ai des milliers de pages). Ainsi quand je relis, je remarque ce qui ne m'avait pas frappé au départ et que je n'aurais pas noté.

Annenhauneem, je ne freine pas. Ma méthode ne consiste pas à donner tel ou tel petit truc en fonction des problèmes, je teste sans arrêt et il n'y a pas deux séances identiques. J'ai donné les référence d'un bon livre : La kinésiologie selon le Dr Charles KREBS. A lire de toute urgence.



A un stage avec KREBS, une collègue n'avait pas les pré-requis. Que de crises de larmes, elle était perdue, au bord de la dépression. C'est donc tout un apprentissage. Et on ne l'apprend pas dans les livres.Le huit fait partie des trucs tout à fait basiques. J'ai bien dit que ce n'est pas suffisant. Cependant je l'ai pratiqué, je sais les résultats que ça donne.

Les faits scientifiques, j'en ai donné. La première question qu'on pose à la fac : est-ce reproductible ? Je réponds : « oui ». Sur mon CD, j'ai plusieurs exemples. c'est une preuve scientifique. j'ai fait un travail scientifique. Si vous le contestez, ce n'est pas moi que vous contestez. Vous mettez en cause les critères de l'université française. On va bien se marrer !!! Il n'y a pas d'autres manières de le prouver. Mon CD n'est pas en vente, bien sûr, mais on peut se faire une idée sur mon site. Ne fait-on pas la même chose avec les médicaments en recrutant des cobayes ? Sauf que là il faut être au RMI ou au SMIC ou inconscient pour le faire. Car qui peut garantir qu'il n'y aura pas de troubles ou qui acceptera de faire le lien 20 ans plus tard si un problème survient ? Ceci dit je ne vois pas une autre solution pour tester les médicaments.

Je ne parle pas de psy, mais de stress émotionnel. Un stress émotionnel, une grande peur, par exemple, a des effets immenses sur nous. Si on n'a pas creusé on croit que le problème est physiologique, mais qu'y a-t-il eu à la base ? Je pourrais développer longuement.

Quand je teste si c'est le « fouillis » là-haut, (la gare de tri qui fonctionne mal), chaque cas est spécifique. Quand je vais chercher le stress émotionnel derrière chaque cas est différent.

Qu'avait l'adulte ? Elle était dyslexique. Je ne donnerai pas plus de précisions. Écoutez-la lire. Je ne m'occupe pas de quelle sorte de dyslexie, il s'agit. Qui pourrait dire les causes exactes de cette dyslexie ? On fait confiance ou pas à une compétence.

Je viens d'avoir une cliente tellement plus difficile que les dys. Je pense à d'autres encore. Cette cliente, je ne la voulais pas. Il a fallu que la mère insiste pour que je la prenne. Qui peut savoir ce qu'on peut faire ? Personne. Il faut faire. Et puis on voit. Ça se passe plutôt bien. Je lui ferai faire un bout de chemin. Mais si elle n'était pas venue, je n'aurais jamais su.

Le complot ? Non. Et puis si c'était un complot contre moi, ce ne serait pas important. Ce que je dis est basé sur l'expérience. Une orthophoniste avait posé une affiche d'une collègue il y a environ 10 ans dans son cabinet et elle parlait de ma collègue. Si un sur 10 allait la voir, c'était déjà bien. Je pourrais développer longuement.

Claude, ce que l'on fait ne s'apparente pas du tout à la psychanalyse. Quand on trouve un stress émotionnel on discute pour voir sa signification pour la personne. Ce n'est pas pour culpabiliser, mais pour déculpabiliser. C'est la personne qui cherche la signification. Par le test c'est elle qui a demandé cette information. En général c'est relativement facile. Je fais ce que la personne demande ! Et y compris les enfants, ils ont vite compris que c'est eux qui, par le test, dialoguent avec eux-mêmes.

Au fait « le comment ça marche pour les médicaments », vous savez ? Vous cherchez à le savoir quand vous prenez un médicament ?

Joray

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Topic starter Posté : 02/08/2008 9:54
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Bonjour Joray,

J'essaie de comprendre, ne m'en voulez pas si mes questions peuvent vous paraître quelquefois absurdes.

Je suis allée sur votre site, j'ai écouté les enregistrements de la jeune femme (alias soffione sur le forum). Dommage, certains sont difficilement audibles.

Effectivement, sa lecture s'améliore.

Je reste persuadée de la possibilité de progrès par des "techniques" telles que la kinésiologie, l'osthéopatie, etc... à une meilleure gestion de son mental, de son bien être. Idem en passant par la nourriture. Et cela, évidemment de façon générale, pas que pour les dys.

Dans le cas de mon fils, sa lecture s'est aussi améliorée, par la rééducation orthophonique et par un travail à la maison.

J'aimerais savoir : est-ce que vous attribuez une dys uniquement à un stress émotionnel ?

Merci d'avance de votre réponse.

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Posté : 02/08/2008 10:42
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Lac, je viens de réécouter l'adulte. Effectivement, ce n'est pas toujours facile à comprendre. Mais, c'était sa lecture. En direct ce n'était pas facile à comprendre non plus. sa lecture n'est pas parfaite. .

On pourrait dire que l'enregistrement n'est pas bon. En effet j'enregistrais avec un radiocassettes premier prix. Aucun réglage n'est possible. Mais écoutez l'adulte, bonne lectrice, l'écoute ne pose aucun problème.

Cela prouve bien qu'elle lisait très, très mal. Il est urgent que je la réenregistre. Il s'est passé environ trois ans depuis ces enregistrements et maintenant sa lecture est excellente. Bien évidemment avec une adulte de 29 ans qui n'était pas lectrice cette lecture est normale. Notre lecture fluide est selon Dehaëne le résultat de plusieurs années de lecture. Elle habite à 250 km maintenant. Je pense que je la verrai en septembre et je la réenregistrerai. Maintenant c'est beaucoup, beaucoup mieux. Elle est devenue une lectrice presque experte.

Pour les autres jeunes, comme la jeune fille de 12 ans, la lecture est fluide, très fluide après 6-7 séances. Cela veut dire que mon travail se fait sur 4-5 mois. Un peu de travail à la maison, 4-5 minutes par jour de mouvements plus la lecture. C'est peu. Donc en gros 10-12 minutes par jour maximum.

Je viens de terminer le livre de DEHAËNE, et je trouve donc à la lecture de ce livre que ce que je fais n'a absolument rien de surprenant. Il faut avoir quelques connaissances. C'est tout. Et il faut croire en l'enfant. Et là je fais en sorte qu'il reprenne confiance en lui dès la première séance. Les thérapies lourdes ne correspondent pas à ma philosophie. Elles ne sont nécessaires que pour un petit pourcentage, à mon avis. C'est ce que je veux dire quand je dis qu'il faut croire en l'enfant.

Est-ce que j'attribue la dys uniquement à un stress émotionnel ? Donner un point de vue, c'est toujours délicat. On n'a toujours que des connaissances partielles, très partielles. Étant donné que notre système corps/esprit ne fait qu'un, je ne peux affirmer rien de tel. Un stress émotionnel a ou peut avoir un gros impact au niveau physiologique. Mais un gros problème physique peut avoir aussi un gros impact émotionnel.

C'est pourquoi, il faut respecter la nature et bien la connaître pour l'aider et non pas la bloquer. Je veux dire ne demander à l'enfant que ce qu'il peut faire en fonction de sa maturité. Le r e s p e c t e r.

Joray

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Topic starter Posté : 08/08/2008 9:55
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Sinedys : « C'est bien de parler du cerveau et son fonctionnement mais ce n'est pas forcement cela qu'attend un enfant déjà cela dépend de son age ». Tout à fait d'accord, Sinedys. J'interviens sur ce Forum en tant que professionnel. Le savoir pour le savoir, ce n'est pas mon truc. Mes formations ont toutes eu pour but d'intervenir pour régler les problèmes.

Comprendre pour moi est stérile si on ne peut pas agir. Mon premier souci est donc l'efficacité tout en sachant très bien que tout ne peut pas être réglé. Dans ma pratique, c'est l'enfant qui constate lui-même que ses problèmes viennent d'ailleurs, que des stress l'ont affecté mais qu'ils peuvent être résolus la plupart du temps, sauf les problèmes médicaux graves évidemment.

Lui dire qu'il est une personne extraordinaire ne me satisfait pas, personnellement. Je préfère qu'il s'en rende compte de lui-même.

Si j'ai toujours été à la recherche de solutions, c'est précisément parce que je considérais que les élèves en échec scolaire l'étaient pour diverses raisons. C'est sans doute pour cela que j'ai été mis sur les voies nouvelles qui allaient pouvoir me permettre d'agir. Seul, on ne va pas loin. Il faut voir le parcours et les connaissances de ceux qui trouvent, les vrais chercheurs. Ça ne s'improvise pas.

Personnellement je ne vais pas expliquer les problèmes de mémorisation, j'agis. Je pense que c'est cela qu'attendent les enfants en difficulté. Pour moi, lui dire qu'il est une personne extraordinaire, ça me hérisse le poil, désolé. Encore une fois je préfère agir. Car qui n'est pas extraordinaire ?

Joray

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Topic starter Posté : 18/09/2008 9:51
Claude
(@Claude)
Membre noble

OK Joray, tout le monde est extraordinaire car unique. Bon, bon. Mais nos enfants ont besoin plus que d'autres d'être rassurés sur leur intelligence et leur place dans la société.

J'ai eu beau dire à mon fils qu'il était intelligent ainsi que tous les orthophonistes, neurologues, enseignants parfois, il ne l'a pas cru. Les résultats comme vous dites étaient là pour lui prouver l'inverse : mauvaises notes pour beaucoup de travail et reproches constants sur sa lenteur, sur ses fautes, sur ses oublis.

Au final à 14 ans il se croyait réellement bête.

Il a fallu un bilan QI et lui montrer les chiffres pour lui prouver le contraire. Les résultats scolaires ne suffisent pas, ils sont moyens pour tant d'efforts.

Là ce fut pour lui bouleversant car il avait bâti topute sa personnalité sur le fait qu'il était "con" comme il dit. Il ne la ramenait pas avec les copains pour ne pas dire de connerie etc...

Maintenant il doit reconstruire toute une personnalité autour du fait que son avis et ses idées ne sont pas tous idiots et qu'il a sa place dans la société.

C'est grave. C'est destabilisant. C'est indispensable de passer par des explications et des preuves pour qu'ils se construisent normalement.

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Posté : 18/09/2008 10:29
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

AnneNhauneem, je crois qu'on ne donne pas le même sens aux mots. Quand je dis que la kinésiologie est scientifique, je veux dire les résultats sont reproductibles.

Bien sûr qu'il y a des chercheurs qui créent, qui ont de l'intuition, mais sont-ils nombreux ? Quand j'ai parlé de ressenti j'ai voulu parler d'intuition, de la clairvoyance. Des clairvoyants, par exemple, je ne pense pas qu'il y en ait beaucoup. L'école développe la logique, pas ces qualités que presque tous nous possédons enfant.

Quand je parle de fonctions des hémisphères, je parle des fonctions d'entrée et pour bien fonctionner il faut que les différentes parties du cerveau remplissent leur rôle et je sais que ce n'est pas simple.

Vrai, je ne crois pas au bon sens de tous, mais ce ne sont pas les études qui le développent. Il est répandu dans toutes les franges de la société, indépendamment des diplômes.

Joray

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Topic starter Posté : 01/10/2008 1:05
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Claude : "Il a fallu un bilan QI et lui montrer les chiffres pour lui prouver le contraire. Les résultats scolaires ne suffisent pas, ils sont moyens pour tant d'efforts.

Là ce fut pour lui bouleversant car il avait bâti topute sa personnalité sur le fait qu'il était "con" comme il dit. Il ne la ramenait pas avec les copains pour ne pas dire de connerie etc... "

Et si le QI n'était pas élevé ? Moi, je préfère ma méthode. C'est l'enfant qui constate par lui-même qu'il avait des blocages et les résultats. Car cela est valable même si l'enfant ou la personne n'est pas spécialement brillant. Et donc, si blocages, normalement ça s'enlève.

Mercredi dernier j'avais comme client un bon élève. Il croyait bien lire et sa mère aussi le pensait. Ils ont remarqué tous les deux le changement à la fin de la séance. Une bonne méthode peut aider tout le monde.

Des méthodes qui aident, il doit y en avoir quelques-unes, je pense. Mais les bénéficiaires ne vont pas le crier sur les toits. J'attendais avec impatience la fin du mois de septembre pour savoir ce qu'allait dire la neurologue sur une petite cliente que j'ai eue (très gros problèmes de langage et de motricité fine). Elle devait la revoir ce mois de septembre. Alors je téléphone à la maman pour avoir des nouvelles. La petite est en CP. Ça va bien. Et la neurologue qu'a-t-elle dit ? Je ne l'ai pas emmenée, m'a répondu la mère et je n'irais pas. J'étais dépité, je n'aurai pas les réactions de la neurologue. Mais je comprends la mère.

Ainsi ce doit être assez souvent, les professionnels ne sont pas au courant. Ils peuvent continuer à faire leurs conférences en toute bonne foi, n'étant jamais mis devant la réalité. Dans le livre que je débute, on dit que les problèmes de prononciation des mots du très jeune enfant permettent de prédire les difficultés de lecture. Mais se pose-t-on la question de savoir pourquoi ces difficultés ? Non, bien sûr.

Joray

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Topic starter Posté : 05/10/2008 2:23
cricri
(@cricri)
Membre éminent

bonjour,

Claude : "Il a fallu un bilan QI et lui montrer les chiffres pour lui prouver le contraire. Les résultats scolaires ne suffisent pas, ils sont moyens pour tant d'efforts.

Là ce fut pour lui bouleversant car il avait bâti topute sa personnalité sur le fait qu'il était "con" comme il dit. Il ne la ramenait pas avec les copains pour ne pas dire de connerie etc... "



Traduction du post de Claude sauce cricri_ Des tiers ont dit à mon fils qu'il avait du potentiel, une intelligence et un savoir faire_ Ces tiers ne font pas partie de notre vie_ pas d'affectif avec eux_ Moi la mere, j'ai dit à mon fils qu'il n'etait pas bete, idiot ou nul mais dans l'esprit de mon enfant, c'etait mon coeur qui parlait, pas ma raison_ Avec des tiers, c'est la raison qui parle, pas l'affectif.

La nuance est là _

c'est la meme Joray que vous appliquez lors des seances_ Reconnaitre par la raison ses points forts et ses points faibles, ses progres, ses freins_ l'affectif est secondaire_ il est ce qu'on appelle "feeling" ou sensibilité. Mais un tiers va exploiter la raison sauf le psy qui exploitera l'affectif pour la construction psychique.

Tout ça pour dire qu'etablir un qi , un profil, n'est pas nul pour l'"enfant, l'adulte qui se croit inferieur, nul, moche. C'est un moyen d'avoir une objectivité sur son potentiel. Et l'objectivite, c'est un moteur à exploité aussi.

Message édité par : cricri / 05-10-2008 10:22

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Posté : 05/10/2008 12:18
Claude
(@Claude)
Membre noble

Ouf ! Merci cricri d'avoir compris ce que j'ai écrit, j'en arrivais à douter de ma façon de m'exprimer qui n'est pas parfaite, sûr, mais que je pensais compréhensible.

De plus, je n'ai pas parlé d'enfant brillant, j'ai parlé d'intelligent. Par intelligent je comprends entre la moyenne basse et le maximum. Seul le déficit intellectuel est écarté dans mes propos.

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Posté : 05/10/2008 1:39
AnneNhauneem
(@AnneNhauneem)
Membre de bonne réputation

je remets ici un de tes textes joray:

"""Claude :" Il faudrait qu'il apprenne non seulement à s'accepter et à s'aimer tel qu'il est". Je me suis arrêté là à la première lecture. Quel coup de poignard ! Nous devons nous accepter tel que nous sommes. Alors si je ne suis pas né sous une bonne étoile, tant pis pour moi. Et la résilience ? Pour moi cette phrase est la conséquence du tout biologique.

Facile à dire pour ceux qui sont gâtés par la vie. Pour dire cette phrase, il faudrait être sûr du pourquoi on a des problèmes. Si c'est génétique, alors oui, il n'y a probablement rien à faire. Mais si c'est psychologique, émotionnel, dû aux aléas de la vie, il n'y a rien à faire ?

Je refuse absolument cela. Qui est qualifié pour porter un tel jugement ? A quoi est dû le comportement du fils de NAD ? Est-il né comme cela ? Il est presque sûr que la réponse est non et non.

Pourquoi ça va un peu mieux aujourd'hui ? Une instit qui semble tenir la route ? Alors un mauvais départ à l'école ? Ou autre chose ? Voici un texte pris sur un Forum de LIBÉRATION :

Comparons NOTRE système à celui des champions du monde des études PISA : les Finlandais, invaincus depuis la création de cette étude.

En France, on rentre en maternelle à 2 ou 3 ans. En Finlande, on rentre en maternelle à 6 ans. Avant cet âge, ON JOUE.

En France, dès 5 ans on apprend à lire et écrire. En Finlande, on commence à 7 ans. Avant cet âge, ON JOUE.

En France, on finit la journée à 16h30. En Finlande, on finit vers 14h. Après cette heure, ON JOUE.

En France, quand on a fini sa journée, on doit faire ses devoirs, et apprendre ses "récitations" par coeur. En Finlande, après l'école, ON JOUE.

Je me pose la question : si cet enfant avait bénéficié de ces conditions aurait-il tous ces problèmes ?

Joray """"

.................................

je développe

1)dans le sens de joray

2)"contre" joray

1)dans le sens de joray.

Joray se place délibérement depuis le début en diagnostic différentiel des dys.

Joray parle des dys qui ne sont pas dys.

Ces faux dys auraient subis un blocage, Joray débloque comme une manipulation et retour à la normale,

retour car le mome était non dys, il entre en "symptomes de dys", dysapprentissage lecture, maths, et après les manipulations, quelques séances c'est décoincé, le mome repasse en terrain non dys.

Ce genre de situation doit malheureusement exister.

Je reprends juste un exemple tiré de mon expérience,

de celle racontée par mon orthoptiste.

face à ma fille, l'orthoptiste ne s'est pas vantée de tout faire rentrer dans l'ordre rapidement,

mais elle m'a raconté des enfants dysapprentisseurs de graphie, de lecture,

et en quelques séances d'orthoptie c'est réglé,

il ne s'agissait pas de vrais dys, dys génétiques, dys durables,

et pourtant sans l'orthoptiste ils seraient bien rentrés dans la définition de troubles durables des apprentissages de la graphie, de la lecture, des maths aussi pourquoi pas.

Je ne dis pas que joray a ces seuls succès là.

Il a probablement ceux-là, et on espère s'il apporte quelque chose d'autres succès sur ce thème.

C'est pourquoi joray on t'écoute, je t'écoute.

Egalement joray peut se situer chez les vrais dys,

et améliorer une partie de leurs signes, mais comme vrais dys, ce que fait joray n'élimine pas la dys réelle, et de nombreux points de cette dys.

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Posté : 05/10/2008 6:03
AnneNhauneem
(@AnneNhauneem)
Membre de bonne réputation

2)pas d'accord avec toi Joray

-la détection précoce de troubles phono pour ètre en alerte de possible développement de dyslexie:

Joray:" Dans le livre que je débute, on dit que les problèmes de prononciation des mots du très jeune enfant permettent de prédire les difficultés de lecture. Mais se pose-t-on la question de savoir pourquoi ces difficultés ? Non, bien sûr. "

Mais si bien sur, la question est posée et les pros apportent les réponses qu'ils connaissent

Que tu apportes d'autres réponses possibles, tant mieux,

elle seront à débattre

-Joray:"Des méthodes qui aident, il doit y en avoir quelques-unes, je pense. Mais les bénéficiaires ne vont pas le crier sur les toits. "

et si heureusement il y a internet,

j'ai beaucoup appris de témoignages individuels, moi qui me réclame du scientifique et qui doit donc me méfier de cet individuel,

et bien j'ai appris de ces individuels qui s'additionnent, de ces individuels qui se font écho, ils sont individuels avec un lien commun,

tout comme joray pourrait nous apporte s'il en disait plus,

mais il n'est pas bavard le Joray sauf sur les généralités.

-Joray:"En France, on rentre en maternelle à 2 ou 3 ans. En Finlande, on rentre en maternelle à 6 ans. Avant cet âge, ON JOUE.

En France, dès 5 ans on apprend à lire et écrire. En Finlande, on commence à 7 ans. Avant cet âge, ON JOUE.

En France, on finit la journée à 16h30. En Finlande, on finit vers 14h. Après cette heure, ON JOUE.

En France, quand on a fini sa journée, on doit faire ses devoirs, et apprendre ses "récitations" par coeur. En Finlande, après l'école, ON JOUE. "

Si on regarde les apprentissages de maternelle et primaire, on voit bien qu'avec les années en France, on a de plus en plus reculé tous les apprentissages de l'école, pour obtenir des résultats de plus en plus mauvais,

alors certes les momes ont changé, ils ne peuvent plus apprendre à l'école comme avant,

mais je pense que retarder encore serait préjudiciable.

Si je devais refaire l'éducation de ma mome, je recommencerai dès la maternelle lecture et maths à un niveau bien supérieur à celui qui lui a été enseigné.

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Posté : 05/10/2008 6:17
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