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temoignage, on peut y arriver  

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LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Le nouveau sujet de claudia se trouve dans la partie "Discussions".

En voici le lien :

https://www.apedys.org/viewtopic.php?topic=5214&forum=40

Amicalement.

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Posté : 19/04/2011 12:27
nilo
 nilo
(@nilo)
Membre actif

je suis d accord . il faut juste se mettre en tete des objectifs à notre porté et des petits objectifs que on va pouvoir realiser avec du travail , de la volonté et de la determination !! et puis petit à petit voir et essaayer un peu plus grand car ayaant pri un peu confiance avec les petits on se sent pres à relever lezs defis plus grand

je pense qu il ne faut pas oublier ces reves , ces ambitions!! car le plus important est d avancer dans un domaine que l on aime au niveau professionnelele pour le quotidien , c est de vivre le mieu possible , de voir deja tout ce que l on a autour de nous de partager et d apprecier à sa juste valeur chaque petit moment de la vie !j aime bien faire la comparaison avec une course d endurance , c est long mais au bout , cest une grande victoire car malgré tout les embouches , les douleurs, des moment de demotivation, les baisses au niveau physique , au bout la ligne d arriver est la !! un objectif un chemin au bout une victoire

comme vous avez dit dans les commentaires precedent il ya des personnes indelicates, des personnes qui ne parlent , le fait de leur monterr que vous avez accepter le handicap , pour ma part je le considaire comme une partie de moi à part entier et c est peu etre paradoxal mais je ne pense pas que aurai deevelopper cette envie d avancer , d avenir de besoins d apprender de nouvelle chose d accimiler des connaissance sans cette dyslexie , cela ma donner envie d avoir un avenir , un avenir que j ai choisi !!

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Topic starter Posté : 19/04/2011 1:14
rafi82
(@rafi82)
Membre éminent

bonjour,

vous avez toute a fait raison, je me permet de ajouter a votre attention une réalité phisique d'on tré peut de gent on consiance.

que j'appel personnellement pensée positive, elle m'as permise de survivre dans des moment extrêmement difficile. de fair des progrès énorme sur moi même, et sur mon fils de 9 ans dyspraxique, dyslexique dysorthographique, un héritage génétique bien difficile a accepter.

j'ai fait comprendre a mon enfant que la façon dont il appréhender la lecture et l'écrit été en étroite relation avec le résulta.

par exemple pour la lécture, je le feuser se relaxer avec des exercice de respiration, en respirant avec le nez en gonflent le ventre puis expirer par la bouche doucement, une forme de respiration abdominale.

je lui dit, que il n'y a person pour le juger, qu'il peut prendre tout sons temps, je lui dit de me répéter cette petite phrase, je fais des progrès de jours en jours. a long terme ça marche, une forme de méthode coué.

😉

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Posté : 20/04/2011 11:49
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

bonjour,

Transmettre le plaisir de la lecture passe par le corps, tu as tout compris :=!

Quand mes fils étaient petits, on s'allongeait sur un lit et chacun à notre tour on lisait à haute voix, sans jugement et à son rythme. Quand l'un butait, les deux autres l'aidaient. On vivait l'histoire à travers la transmission des mots. Jamais on imposait l'histoire. On n'a pas amélioré notre orthographe, mais on a tous la folie des livres :b


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

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Posté : 21/04/2011 4:41
winry
(@winry)
Membre éminent

Le plus important pour moi c'est le soutient de mes parents qui sont là tous les jours pour m'aider. Je suis aussi dyslexique par le biais de mon père et l'avantage que j'y trouve c'est qu'il peut m'aider à comprendre, c'est vers lui que je me tourne quand j'ai besoin, car pour moi c'est celui qui peut le mieux comprendre ma situation. La meilleure motivation pour moi ça était mon père, il est dyslexique et a eu son diplôme à 50 ans d'ingénieur l'une des plus grandes preuves qu'on peut y arriver malgré tout, malgré le manque de soutient de toute personne.

Je prépare mes partiels pour avoir ma licence en droit. Je l'annonce desuite c'est très dur, disserter pendant des heures sur des sujets n'est pas simple quand on est dyslexique et également les pavés qu'on doit apprendre à chaque semestre.

Mais je dirai juste dites à vos enfants qu'on peut y arriver et que l'essentiel est de trouver sa voie et de faire tout se qu'on peut pour y arriver, ce n'est pas sur d'y arriver, mais c'est également le cas pour des personnes non dyslexique qui vivent des échecs.

Mais aussi vous dire je n'aime jamais aimer lire jusqu'à peu, il y a des choses qui ne viennent qu'avec la maturité. Il faut parfois laisser le temps faire les choses.

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Posté : 26/04/2011 7:08
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Merci pour votre témoignage winry ! ça met du baume au coeur !

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Posté : 26/04/2011 7:11
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

Bonjour,

Winry, Bravo à ton papa ! J'aimerai bien que mes fils parle ainsi de moi. Et bravo à toi, le droit, ce n'est pas simple, mais si cela te plait, alors tu vas y arriver :b

Souvent je le dis à mes fils: "l'importance, c'est d'y arriver, on s'en fou du temps que l'on met, c'est le résultat qui comptent" et ceux qui veulent être devant, qu'ils courent, cela n'a aucune importance. :b


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

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Posté : 27/04/2011 12:27
nilo
 nilo
(@nilo)
Membre actif

bonsoir winry

merci pour ton temoignage , je te souhaite vraiment d y arriver , courage c est super ce que tu fais

je sais que ce n est pas simple tous les jours en etant en medecine je ressent un peu ce que tu vis en droit mais vraiment lache pas !! courage et sa fait vraiment du bien et plaisir de voir des personnes conbatif et audicieuse merci à toi!!

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Topic starter Posté : 27/04/2011 12:39
winry
(@winry)
Membre éminent

Merci de vos encouragement 🙂

Claudia 15 tu sais quand on cherche à se faire comprendre le mieux c'est de parler à quelqu'un qui a vécu la même chose ou du moins qui a les mêmes problèmes donc ils doivent penser la même chose. Il faut surtout être là pour leur dire que ce n'est pas simple, car il ne faut pas se leuré c'est dur de passer outre les moqueries, les insultes et les professeurs qui vous dissent constamment que jamais vous y arriverai ... etc, mais le plus important c'est me soutien des parents.

J'ai lu aussi que certain parents avaient peur de pas savoir comment donner confiance à ses enfants d'y arriver, moi personnellement je commence à peine à avoir un peu de confiance (le doute est toujours là, en même temps mon rêve est assez élevé, être avocate n'est pas forcément un rêve facilement accessible), mais mes amis m'aide à avoir confiance, car parfois il y a des choses que les parents ne peuvent pas faire, ce sont d'autre personnes qui peuvent le faire, ça peut se produire à tout moment. Et surtout ce n'est pas parce que la personne n'a pas confiance en soi qu'elle ne peut pas réaliser de grandes choses :D. Incluquer la confiance en soi est un cheminement bien long quand on est dys, car on est vraiment différent des autres, avec nos lacqunes et retards, mais aussi avec nos forces que l'on sous-estime bien trop.

Nilo bravo à toi aussi pour tes études médecine n'est pas non plus les études les plus simples. Je te souhaite aussi d'y arriver mais comme j'ai compris tu as eu ton concours non ? Donc tu ne peux que sortir par la porte du haut :D.

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Posté : 27/04/2011 11:46
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

bonjour,

Winry, la confiance malgré un long travail sur moi, je n'ai toujours pas réussi à l'avoir, mais je crois savoir pourquoi. Je n'ai pas comme toi ou comme Nilo pu faire des études. Mon rêve: être pédopsychiatre. Je me suis quand même dirigée vers les enfants et la jeunesse, mais à ce jour, je n'ai pas encore le poste de mes rêves. Je pense que mon manque de confiance vient de là. Et c'est pourquoi, je trouve drôlement bien ce qu'à réussi ton papa. Peut-être un jour, moi aussi j'y arriverai et mes fils seront fiers :b J'ai bien essayé de savoir d'où venait ma dys, mais le sujet est tabou dans ma famille, comme une honte. Je ne sais pas trop d'où viennent les gènes, donc c'est difficile pour en parler. Peut-être ma mère ? Avec elle je peux en parler. Je lui ai appris ce qu'est la dys. Quand je rencontre des adultes dys, je sens bien qu'ils préfèrent éviter le sujet, surtout quand ils ont réussi. A part, une copine qui vient d'être kiné :=! Elle m'en a un peu parlé. Bien sur, nous en parlons avec mon fils dys, mais là aussi, je sais qu'il n'en parle pas trop autour de lui. Tout cela n'est pas simple 😕


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

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Posté : 27/04/2011 12:46
cricri
(@cricri)
Membre éminent

re,

Claudia, je pense au contraire que tu as confiance en toi, pleinement confiance dans tes capacites_ sont les arrierés pas digerés qui remontent en surface et te font legerement vaciller.

Tu as un ecrit qui tient la route dans le sens argumentation, maitrise du sujet et surtout l'ambition et la volonté de se bouger.

regles tes arrieres comme tu peux, en listant tout ce que tu as accompli et qui n'etaient pas dans le pronostic, prend tout le positif de ton parcours, prend cette resilience pour faire fi du passé et gagner en solidité.

Les jeunes qui viennent de temoigner, ne sont assurés que d'une chose, c'est de leur volonte et de leur ambition que viendra l'aisance et elles mettent de cote les betises standards qui ne sont que couvercles pour qui veut les entendre. Les places sont cheres, et par consequent on decourage un max_

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Posté : 27/04/2011 1:10
winry
(@winry)
Membre éminent

Bonjour,

Claudia la différence est que je sais d'où ça vient et que mes parents ont donc put m'aider en étant petite. Mais également que ce sont des sujets qui se "démocratisent". En effet, on peut dire qu'aujourd'hui aller chez une orthophoniste c'est pratiquement banal, avant c'était qu'on avait pas la lumière à tout les étages. Les mentalistés changent avec les années, ce qui prévôt que du bien pour les futures générations. C'est comme on commence tout juste à enseigner au instituteur à reconnaitre et identifier la dys chez les enfants. Ou le tiers temps n'est apparu que peu de temps avant que je passe mon bac ou mes partiels (je ne me rappelle pas que ça existait quand j'ai passé mon brevet des collèges).

Et puis rien ne dit qu'un jour tu ne pourra pas y arriver, c'est dur de reprendre ses études mais rien n'est impossible et puis peu importe le nombre d'année l'essentiel est d'y arriver.

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Posté : 27/04/2011 1:29
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

cricri, merci pour tes mots. je connais mes capacités, mes acquis, mais je t'assure que lorsque je me trouve face à un adulte dans la position parent, je pers pieds et je n'ai plus du tout confiance. Je peux me trouver devant un groupe et savoir exprimer mes idées... mais comme tu dis quand le passé resurgit sous la forme autorité, je ne suis plus que l'ombre de moi- même. Promis, je vais y travailler encore et encore 😉


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

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Posté : 27/04/2011 1:32
cricri
(@cricri)
Membre éminent

re,

l'enfant que tu as été a grandi!!! il est adulte et parent à son tour_ il serait peut etre temps de regarder les parents avec un regard d'adulte et non en enfant 🙂

Essaye de calquer ton savoir faire en reunion, en association et prend de la hauteur sur ce que tu as ete et ce que tu es aujourd'hui. tu peux, il me semble faire la reunion de ton passé avec le present et non jouer la fracture entre ton passé et aujourd"hui.

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Posté : 27/04/2011 1:58
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

re,

je n'arrive pas à bien exprimer ce que je ressent. En chacun de nous il y a l'enfant, l'adulte et le parent. Et en fonction, on active l'un des 3. Dans la vie de tous les jours, je fonctionne en adulte ou en parents. Mais quand je me trouve dans un situation, cela peut-être lors du soirée, devant un jury ... Où une personne par son attitude me place dans la situation enfant, je ne trouve pas le moyen de la remettre à sa place où alors je pars au car de tour et là, ce n'est pas bien du tout, je mets en avant mon enfant colérique et je n'aime pas cela du tout. Je vais y travailler encore et encore

:b


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

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Posté : 27/04/2011 4:58
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