Forum
Faurum
bonjour,
j ai eu envie d apporter mon temoignage ,
j'ai 19 ans. J ai été depister d'une dyslexie et d' une dysorthographie severe completement par hasard au classe de 5 eme.
Jusque la mon parcours scolaire était relativement bon, j ai eu des difficulté dans les classes cruciale CP CE1 mais je suis passé sans probleme alors qu en realité je dechiffrais les mots avec beaucoup de difficulté , j étais timide alors , la petite fille au fond de la classe , que l on oublie et que l on interroge rarement , pour les controle j ai mis en place des technique pour pour pouvoir avoir une note convenable. En 5 eme , mon petit frere a du faire des sceane d orthophoniste et j attendais mon free dans la salle d attente en faisant mes devoir et orthophoniste a vu mon cahier et m a demander de revenir avec mes parents.
Apres avoir fait les test le couperet tombe un retard de lecture considerable et une dysorthographie tres prononcé j avais un age de lecture d un enfant de septembre CE2 .
Et la vous avez tous connu , on tombe dans l inconnu, quel avenir , comment je vais faire? est ce que je suis moins intelligente que les autres ? comment les autres vont prendre cela ? les professeurs ? le mot handicap ? les milliers de questions , des moments ou on se sent depassé!!
J ai decider de le dire à mes amis proche , à ma famille, et à mes professeurs . Mais la aussi , on ne tombe pas que sur des personnes informés et prete à controle notre difficultés . Je parle des professeurs , attention je ne generalise pas parce qu heureusement , il ya des gens bien , et des professeurs extraordinaire sans qui beaucoup de chosed autrait pas été possible.
je repense à mon professeur SVT de l epoque , qui m avais mis au fond de la classe isoler de tous , je n avais pas le droit de poser de questions ou de m interesser au manipulation parce que pour lui je ralentisser la classe et que de tout façon dans son esprit une terminale S ou un cursus dans les sciences n était pas possible pour moi , ma place etait dans un cursus professionnelle BEP , CAP
Mes notes pourtant etait convenable j avais 14 de moyenne
j ai eu mon brevet des college avec mention tres bien et je suis rentrer dans une seconde general , au lycee ayant beaucoup souffert d avoir rreveler mon handicap , je n ai rien dit , je travailler beaucoup à la maison et je suis passé en premiere S avec 12 de moyenne .
En premiere , j ai été confontrer à un obstacle le bac de français , le tiers temps n 'était indispensable , pour pouvoir essaye de sortir quelque chose de potable , donc je l ai dit à mes professeur et à l infirmiere est la ,ce fut la stupeur, mes professeur etait tres supris et ne penser sa que je puisse pour cacher cette dyslexie et d avoir des resulatt à peu pret convenable
le tier temp me fu accorder sans probleme , ave cutilisation d un ordinateru si je voulais , mais jje l ai refuser car je voulais prouver que j etait normal et que je pouvais y arriver comme les autres !!j avais besoinde leur montrer et de leur demontrer que lon peut y arriver en etant dyslexique et dysorthographique, on peut avoir son bac est faire des etudes superieurs
J ai eu mon bac de français avec des notes catastrophique 8 écrit et 12 oral mais les science et les maths était la pour rattraper le coup en terminal!!
je suis passer en terminal , j ai eu mon bac avec mention bien
et aujourd hui j esuis etudiante en medecine , j essaye de concrétiser un reve devenir medecin , aider les personnes !!
durant ma scolarité , jai developper plusieurs technique pour eessayer de palier mes difficulter , je pense à la lecture a voix haute , qui peut etre difficile, quand je lis à voix haute avec ma main je piano et à chaque syllable pronoser je pose un doigt et temps que je n ai pas pronocer la syllable je ne pose pas le doigt , cela m apermi de gerer ma fluidité de parole et nde ne pas paniquer parce que je narriver pas à proposer le groupe de lettre , de ne pas retardir au debut du mot et de bloquer à nouveau , cela augmente le stress et on perd encore plus c est moyen
je sais que l on peut avoir des difficulté au niveau du quotidien , des cours de ce melanger avec les cahiers et otutes les matieres alors j avais mis en place un code de couleur une matiere = une couleur ,je sais que cela ma beaucoup faciliter les chose au niveau de l organisation et de la gestion de mes affaires aussi bien au niveau du college que du lycee
en maths , j avais un soucis avec la geometrie et les representation vectoriel par exemple. Ou les representation en trois dimension au tableau
alors je ramener les geomag , les battonets emantés que l on utilise pour jouer, je les piquer à mon petit frere pour refaire la figue du tableau à un eechelle plus petite mais en trois dimension ce qui me premettait de suivre et de voir rellement de quel partie de la figure on parlait
pour orthographe , je faisait une relecture mais en me concentrant sur mes point faible , je savais que l avais tendance à inverse tel lettre ou que ce son on pouvais l ecrire de plusieur maniere differentes donc je me reliser en faisant attention à ces mots et ces groupe de lettre , autrement pour ce qui est des mots courant , je les avais appris par coeur et memoriser avec le son qui les associer , comme sa des que je l entendait je le voyer ecrit et je n avais pa sà me concentrer sur ces mots la mais plus sur des mots moins courant et inconnu, je sais que cela ma beaucoup aider
j ai plus de petit astuces pour le quotidiens , et pour d autres matiere comme les langues si vous avez des questions je vous reponderez avec grand plaisir , hesiter pas
je voudrais juste rajouter un petit trucs pour les parents , parce que ce n est pas facile pour eux non plus , et que des questions se posent tous les jours, en tout cas je pense qu il faut en parler avec l enfant , le soutenir dasn ces projets, je sais que c est vraiment bete à dire , mais il fuat y croire , en l avenir en c es projets !! vraiment lacher pas l affaire meme si les moments de doute , de decouragement sonts la et nous donne envie de leur donner raison , il faut essayer de garder confiance et de se faire aider par des professionnellle parce que des olutions existe , au niveau des logiciel de de dicter vocal par eexemple, d amenagement ...
vraiment , on peut y arriver à faire ce qui nous plait, peut etre avec plus de difficulté mais cela nous apporte aussi dela maturité, dela combativité, une force moral !!
voila un petit bout de mon histoire !!
Joli!
Bravo et merci pour votre témoignage nilo !
Quel courage, et quelle volonté : bravo ! :=! :=! :=! :=!
Eh oui, mille et unes astuces pour pallier à ses difficultées.
Félicitation et bon courage pour la suite.
GENE
bonjour,
je retiendrai le der paragraphe et pas seulement cote parent_
On cesse de dramatiser et on cultive la confiance, l'endurance et on investit sur plein de petites choses qui boostent sans surchager pour autant.
Le souci, c'est que la culture de la confiance n'est plus relayée_ un parent qui se soucie de son enfant sera taxé de mere poule et un parent qui se decharge sera taxé de demissionnaire. l'entre deux n'a plus sa place, la hierarchie des etudes, des niveaux est telle que le tri devient absurde.
En qualite de parent, j'ai passé plus de temps à rassurer mon fils sur ses capacites ( entre ce qu'il entendait de façon generale, et de façon personnelle) la negation avait toute latitude pour fonctionner, que refaire les schemas de cours. les schemas de cours, c'est facile une fois qu'on a saisi comment son enfant retient.
Reste que l'elan et la confiance sont des choses qui se cultivent et malheureusement on assiste à la culture du contraire en collectivite. On decourage, on abime ( management entreprise deteint sur l'ecole ) pour repondre à un budget.
Soyez fiere de vous et faites des emules sur la confiance et l'endurance..
bonjour,
Bravo :=! n'hésitez pas à revenir pour nous donner de vos nouvelles.
Ho! que oui, les dyslexies sont des battants c'est la société qui les décourage.
"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela
Bonjour,
Votre parcours illustre bien cette très belle phrase de St Ex entendue la semaine dernière sur France Inter et qui nous colle bien à tous : "L'impossible recule toujours quand on s'approche de lui". Cela pourrait être notre devise.
merci beaucoup
pour repondre à cricri
oui je suis entierement d accord avec vous , mesparents ont été conforter à la meme situation , il n arriver pas à se positionnelle ttrop present etouffant et pas assez , les enfants se sentent deleser , sans valeur, et se remettent en question constament, doute , on aucun confiance en eux.
la position des parents n est vraiment pas facile, c est meme j ai envie de dire cest la plus difficile !
je sais que je marquer tout mes doute et mes craintes , mes decouragement , mes questions et de temps en temps , je me posais avec mes parents pour vider mon sac , et leur dire ce que j avais besoin de leur part , ce que j avais besoin d entendre régulierement ( je l avoue c est souvent dans les larmes que cela se passe mais sa me permet d exprimer se que ja i au fond de moi, et qui me travaille l esprit et me ralentitt quotidiennement)
je le fait encore aujourd hui ! on a besoin a cause de la vie , l ecole , les personnes indelicate qui parle et juge alors qu ils n ont pas les connaissances et qui se permettent de parler et de dire des choses qui ont un impact important. C est pour sa qu il faut se battre et montrer que l on ai capable pour que c espersonnes se rendent compte qu elles ont tort
en tout cas, pour les parents je pense qu il faut vraiment etre à l ecoute mem si au quotidien se n est pas facile et de proposer la discussion pour pouvoir ameliorer la vie de l enfant , pour que mentalement , sa volonté et l avenir soit possible
courage tous !!
une petite phrase de ma maman qu elle me repeter tres regulierement : LA RICHESSE N EST DE LA DIFFERENCE ! ENSEMBLE ON PEUT Y ARRIVER UN REVE UN OBJECTIF
oui en effet cette phrase de st ex est tres bien trouvée et charger de sens !! ^^
re,
Nilo, j'aime mes fils, mais je hais les consequences de leur handicap_ j'ai un grand de 24 ans polyhandi et un autre de 17 ans dys en bac pro_
On peut les booster, les preparer, les choyer, on ne peut pas enlever la douleur, ni les fragilites qui naissent des confrontations_ et les confrontations sont necessaires pour acquerir de la solidite, de l'assise, de la personnalité. Les endurcir pour en faire .....des aigris? non c'est sterile_ On ne peut que leur expliquer que la vie n'est pas ecrite d'avance et que les pronostics ne sont que des paroles à dementir. J'ai juste misé sur ma confiance personnelle afin de la leur transmettre et mettre en sourdine ts les blablas negativants qui ne menent à rien. Si la critique etait encore constructive, on pourrait cheminer autrement mais la critique n'est que couperet mettant un terme à tte projection naturelle.
C'est long d'imprimer de la confiance, de la conviction_ on rabache autant de fois que l'enfant se sent couler qu'il est capable_ ensuite il y a les crises d'ego qui ne menent pas bien loin mais qui resument le ras le bol. Il faut aussi les gerer_ et puis le travail quotidien et pas seulement scolaire pour donner du coffre à ses enfants ( mettre la table, aspirer, tondre la pelouse, tailler les haies, cuisiner, bricoler, ranger...) parce qu'ils sont debrouillards chacun à leur façon.
Mais Nilo, je ne suis mere que de garçons, aussi je suis dechargée de l'heritage maternel d'une certaine façon. Je n'ai pas mon double à parfaire, donc j'ai plus de patience à offrir dans les actes quotidiens de la vie_
Il n'y a rien de facile et nous ne sommes pas parfaits _ on peut parfois trop demander ou mal demandé mais on n'a pas 36 moyens de faire grandir sans pression, sans attente.
Moi, j'ai mon double à parfaire et je suis l'heureuse dys transmetteuse 😉
Que de remise en cause et la patience n'est pas toujours au RDV. 😐
Petit à petit nous trouvons nos marques, et le caractère se forge doucement. 🙂
A l'age adulte, faute d'accompagnement enfant, il reste des séquelles psy et une frustration lié au frein qu'est la dys. Peut être faut il apprendre plus à vivre avec ce que l'on est, mais je ne suis pas sûre que ça suffise.
GENE
Message édité par : gene / 18-04-2011 19:49
bonjour,
Et ben moi, qui est un fils, je me retrouve aussi dans les écrits de cricri en tant que mère et dans ceux de gène en tant que dys. Rien n'est simple, mais le plus important c'est la communication. Même à des km, l'échange doit être présent, pour pouvoir re- dynamiser quand cela se fait sentir. Il a beau avoir 18 ou 20 ou 40 ... un enfant est toujours un enfant. Bien sur il construit son "adulte" son devenir, mais il aime à déverser ses angoisses comme le dit nilo. On a tous besoins de chauxdoudous surtout quand on à devant nous des idiots (je reste polie) :b
"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela
J'adore la réflexion de Claudia : "On a tous besoins de chauxdoudous ". Vi les parents ne sont que des êtres humains.... avec leur manque et leur possibilité.... Je me pose une question qu'est-ce qu'être adulte ???
Plus je regarde autour de moi, plus je m'interroge....
Etre parent, c'est un jour se retrouver avec ses propres pbs et une responsabilité en plus.... sans que cela résolve en rien ses propres pbs.... Finalement faire des mômes en croyant que cela va résoudre ses propres pbs et un leurre complet.... Mais la nature qui tient à la perpétuation de l'espèce, colle un haut tas d'hormone dans le corps de la mère pour lui donner ce sentiment de plénitude pendant la grossesse...Une jolie tromperie... Mais c'est dame Nature....
Il n'y a pas Papa, Maman, mais deux personnes humaines et faillibles.... qui ont besoin que l'enfant parle....
En tout cas, ce que je retiens du témoignage de Nilo, c'est la volonté (je soupçonne un but, une passion), le boulot....
On est loin du snobisme qui veut que l'on réussisse sans travail..... "J'étais cancre au lycée" et j'ai réussi.... LOL Ben voyons !!! J'étais le super petit génie.
Là moi je doute !!!
HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!
bonjour,
anealiboron, je me suis permise d'ouvrir un nouveau sujet sur ton dernier commentaire, il est fort intéressant :b
"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela