Capable du pire comme du meilleur, cela fait partie du descriptif de la dys mais aussi du trouble de l'attention.

La fatigue, la capacité de concentration, la motivation peuvent entrainer des écarts impressionants de capacité.

Perso, j'ai lu des livres entiers sans vraiment comprendre l'intrigue générale, mais les passage compris me procurait beaucoup de satisfaction.

Certains auteurs écrivent avec des phrases simples, peu imager, des repères spatiaux temporels peu important et des personnage facile à visualiser du coup la lecture est plus facile pour un dys. J'étais plus doué pour écrire un poème que faire une dictée en "Hortograffe"

Ma fille lis des livres, gros caractère et chapitre cours sont ses principaux argument pour choisir ses livres de vampire, maléfices en tout genre et contes du monde, etc... Elle a 5 à 6 ans de retard de lecture. Mais comme moi c'est une littéraire.

GENE

Donc vous me le confirmez, qu’une dyslexie n’est pas incompatible avec un côté littéraire.

X écrit des lettres ou des textes parfois surprenant et d’autres fois ça ne ressemble à rien. Mais je pense comme vous dites que l’état d’esprit du moment fatigue, disponibilité, motivation, temps… Y fait beaucoup. Mais tout de même ça reste déroutant surtout pour l’entourage pour qui dyslexie rime avec difficulté de lecture.

Parfois je me dis que malgré son retard de déchiffrage elle lit mieux que des enfants de son âge qui ne lisent pas. Elle fait des fautes, change les terminaisons, modifie certaines choses, ne peut pas lire plus de deux chapitres voir trois s’ils sont courts en moyenne à la suite (fatigabilité importante), mais au bout du compte a une approche assez fine de l’interprétation et du sens. Le tout de manière très imagé.

Sans doute qu’on ne mesure pas l’effort effectué sur simplement trois chapitres, mais ça reste assez déroutant l’efficacité du résultat global à la vue des écarts de lecture sur les bilans orthophoniques.

Mélu