bonjour

c'est peut être la formulation de la lettre qui n'est pas bonne, mais s'il prennent la peine de te donner la date de la réunion c'est aussi parce qu'ils pensent que tu y seras... :#

enfin j'espere que c'est ça...

rien ne t'empeche en allant à la reunion de leur dire que cette lettre t'as parue peu claire, tuverras bien la tête qu'il feront en te vaoyant... 😉

j'espere en tout cas que tu pourras t'y rendre

bon courage

isa

coucou,

moi j'ai les rdv en double, cote college par papier et cote enseignant referent par mail_

quid de l'enseignant referent chez toi?

Je partage la colère et l'écœurement de Claude. La moindre des choses avant de fixer la date est d'en informer tous les participants pour qu'ils puissent dire si elle leur convient. C'est choquant et cela fait preuve d'un manque de savoir vivre évident.

Claude,

On sera avec vous en pensée et si quelqu'un peut défendre ce sujet c'est bien vous

bon courage

Bonjour,

En primaire, les dates et les heures des ESS étaient proposées afin de convenir aux plus grands nombres de personnes (parents y compris). C'est d'ailleurs, il me semble, ce que la loi prévoit (les parents doivent être en mesure de pouvoir venir).

Cette année, la date et l'heure de l'ESS m'ont été imposées ainsi que la présence de mon fils !!!!!!

Je comprends ta colère Claude ! Tu devrais ne pas te gêner en demandant si tu es conviée ou non à cette réunion ?

Amicalement.

Pour tous les parents, je mets ici ce qui a été dit et redit au sujet du "partenariat" dans un PPS :

La nouvelle revue de l’adaptation et de la scolarisation - Hors série PPS • Juin 2009, p.165-166 :

Être des partenaires d’une action commune, cela suppose qu’on soit à parité avec

tous ceux engagés dans cette action. Habituellement une décision commune se prend entre pairs à part égale, et il ne peut y avoir aucune dissymétrie entre eux. Au sein de l’équipe de suivi de la scolarisation, il n’y a rien à décider mais tout à proposer à l’autorité décisionnelle, la CDAPH. Néanmoins, même s’il n’y pas de décisions à prendre on peut convenir ensemble dans le dialogue partenarial des mesures à apporter à la mise en oeuvre du PPS et des modes d’évaluation de celui-ci.

Les parents doivent donc être considérés comme des partenaires à part entière de l’équipe de suivi de la scolarisation par le fait que cette équipe ne peut se réunir sans leur présence (art.2.1.3 de la circulaire interministérielle du 17 août 2006). S’il le faut, on négocie, on trouve des compromis, mais toujours en reconnaissant la qualité de partenaires de tous ceux qui sont là, quel que soit leur statut, et ceci vaut aussi pour les AVS.

À ce niveau le partenariat est possible, à condition que l’enseignant référent assume son rôle d’animateur de la réunion. Les parents connaissent une partie des besoins de l’enfant, les professionnels une autre. Nul d’entre ces derniers ne devrait laisser sous entendre dans ses propos, comme cela arrive encore malheureusement, que le parent est empêtré dans le déni du handicap et ferait donc les mauvais choix.

Jean-Marie Gillig

Inspecteur de l’Éducation nationale honoraire

chèr(e) Claude

Parfois l'EN est maladroite...être en colère au demarrage de la rencontre ne fera pas avancer les choses.

respirer, prendre sur soi, crier sur ce site son incompréhension et sa colère et y aller ZEN et pret a échanger sur le plus important: votre fils

bon courage

Hélène

J'ai réussi à abotenir une équipe éducative cette année pour ma fille en CM2.

Après un report, n'a été présente qu l'enseignante référente, la directrice/enseignante de ma fille, l'AVS et moi même.

J'avais prévenu l'orthophoniste et l'ergo que vue la tournure que prenait les chose ce n'était pas la peine qu'elles perdent leurs temps. Elles étaient prêtes à venir.

L'enseignante référente m'a dit que de toute façon la présence du médecin scolaire n'était pas indispensable.

Elle a rajouté que de toute façon cette réunion ne servait qu'à signer les papiers, que ce n'était que de l'administratif.

Elle n'a pas du tout adhérer que c'était une équipe éducative ou une synthèse de l'accompagnement de l'enfant était fait. Elle n'a pas compris mes attentes et trouvé que ma fille était bien accompagné et que je n'avait pas de quoi me plaindre. :# :paf

GENE

Oh que je comprends ta colère Claude.

Nous concernant, nous avons toujours été convié par les enseignants referents qui ont toujours pris soin de nous demander dans un premier temps NOS disponiblités. En revanche, nous avons toujours eu la triste deception de ne voir que le prof principal, voir aucun professeurs en réunion, grrrrr !!!

Difficile de contenir sa colère dans ces conditions.

Courage

Karine

Merci pour votre soutien à tous, ça fait du bien de pouvoir sortir sa colère.

Ce qui me dérange le plus, c'est que ces personnes qui nous écrivent ce genre de lettres sont des gens cultivés, qui savent manier le langage et qui n'emploient pas un mot pour un autre. C'est donc voulu et calculé ce genre de discours. Comment ne pas réagir ? Comment faire comme si c'était une maladresse ? Comment ignorer qu'on vous traite comme un indésirable ?

A moins de passer pour quelqu'un d'incapable de comprendre ce qui se passe ou quelqu'un qui accepte de prendre une position inférieure à eux dans les rapports.

Aucun être humain n'est inférieur à un autre, surtout pas dans un partenariat. Chacun sa place, mais chacun UNE place !

bonjour,

issu de la liste integration scolaire:

Philippe Perrenoud

Université de Genève, 1988

« Il y a certaines recettes qu’il faut savoir lire à l’envers »

Les voici. Le commentaire suivra.

1. Nier les faits ou les minimiser.

2. Si c’est impossible, en proposer une autre interprétation, plus défendable.

3. Suggérer que l’interlocuteur ignorait le contexte et juge sans savoir.

4. Insister sur le caractère exceptionnel des faits.

5. Admettre qu’il y des brebis galeuses et qu’elles doivent être sanctionnées.

6. Suggérer à l’interlocuteur qu’il n’a pas les mains blanches.

7. Le renvoyer à ses propres incohérences ou à l’absence de consensus de son groupe.

8 Se distancer des collègues absents.

9. Jouer les offensés (“ Votre manque de confiance me blesse… ”).

10. Suggérer que l’interlocuteur n’est pas représentatif.

11. Insinuer qu’il n’est pas bien dans sa peau ou qu’il règle des comptes personnels.

12. Clouer le bec de l’autre en invoquant le bien des enfants.

13. En appeler à des valeurs fondamentales (liberté, droit à la différence, respect de la personnalité).

14. Invoquer les contradictions ou les défaillances de l’autorité.

15. Se cacher derrière le règlement ou l’arbitraire de l’institution.

16. Dire que la vie est dure pour tout le monde et demander un peu de compréhension.

17. Recourir à l’argument d’autorité (“ Nous savons ce que nous avons à faire ”).

18. Rappeler le respect des territoires (que chacun balaie devant sa porte…) Et du professionnalisme.

19. Rappeler la difficulté des conditions de travail et de fonctionnement collectif.

20. Donner des gages de bonne volonté et promettre de faire des efforts.

Les humoristes qui brocardent le racisme en le caricaturant sont parfois étonnés d’être félicités par ceux-là même qu’ils voulaient ébranler…

Mettons donc les points sur les i : rouler les parents dans la farine est une attitude défensive, qu’adopte celui qui n’est pas sûr de ce qu’il fait et n’ose pas ouvrir le dialogue.

Il y a certaines recettes qu’il faut savoir lire à l’envers…

heu pour ton intro, savoir manier la rhetorique ne fait pas qqun de cultivé pour autant et l'inverse est aussi valable, on peut etre tres cultivé et ne pas manié la rhetorique_

Il ne reste que l'argumentation pour la levée des freins ou montrer les incoherences et les faire notifier dans le compte rendu du pps_ et comme tu maitrises bien le sujet, je pense que tu sauras tirer ton epingle du jeu pour remettre à chacun sa part de responsabilite _

je crois que je vous adore tous !!! je ne manie pas les mots comme vous, mais je puise plein d'idées de vos échanges 😛

Claude,

Les gens cultivées sont parfois très loin d'imaginer la portée de leur réthorique. Ils n'ont pas l'intelligence du coeur et reste dans le technique. Il y a une réunion, c'est comme ça, techniquement ils ont répondu à leurs critères techniques.

Pour les passage en commission MDPH, c'est pareil, ont est prévenu que la commission aura lieu et il faut se débrouiller.

Dans mon cas ce qui m'a le plus révolté, c'est que si je n'avait rien demandé, je n'aurai même pas eu de réunion pour faire les demande pour l'an prochain. Et qu'en plus que l'enseignante référente me dise que tout n'est qu'administratif.

GENE

Bonjour,

Je suis educatrice et je travaille avec des ado en difficultés scolaires, je suis donc amener a participer aux PPS en question, et a moi aussi, on fixe en général la date et l'heure du RDV sans tenir compte des disponibilités. Juste pour dire qu'un PPS ne peut etre signer sans la présence des parents, sinon, il n'est pas valable, ce qui semble normal. Alors n'hesitez pas a faire appel a l'enseignant referent qui doit convier les partenaires pour le PPS. 😉