Je ne sais pas s'il y a des instits bien armés pour gérer ces sujets. Aujourd'hui je viens de rencontrer pour la premiere fois l'enseignante de mon fils (elle revient de congé de maternité).

Elle m'explique que mon fils a des difficultés qui ne semblent pas se résoudre via le soutien et pense qu'il est flemard ...

Je lui explique qu'il est suivi par un orthophoniste et que je lui avais fait suivre le bilan à son arrivée à son poste. Que mon fils présente des symptômes de dyslexique et qu'il effectue des exercices pour attenuer son handicape.

Elle m'indique qu'elle est étonné que l'on puisse parlé de dyslexie à son age ... Et donc qu'elle ne peut rien faire car elle n'est pas qualifiée ...

Et voilà s'il n'avait pas été déprimé en maternelle, il serait encore avec son étiquette d'enfant "insuffisant". Heureusement, qu'il y a des psy et des pédiatres ....

je crois que le bilan qui a enfin affirmé la dys de mon fils date de 2002,vers 7 ou 8 ans,

depuis nous avons continué tant bien que mal notre chemin de labeur

Bonjour,

le diagnostic dyslexie ne peut etre confirmé vers 8 ans et le prise

en charge dès le cp, cE1 selon les signes.

être déprimé en maternelle, c est vrai que le programme en GS LECTURE

est difficile et completement idiot...

que les dysphasiques se sentent different dès l ecole maternelle c 'est

logique mais

une dyslexie où le langage oral meme si je suis sure il y a des defauts

mais parlent pose d autres type de probleme autre dys.

et encore en marternelle, on peut tres mal parlé ou peu on est donc anxieux et une certaine souffrance mais pas forcément déprimé.

votre fils a quel âge?

la société et l' école et son programme calqué que le primaire en maternelle font que les enfants et adultes sont vite mis à l écart d ou des difficultés psychologique et d apprentissage scolaires mais pas de dys véritable.

rachel

Des signes de dyslexie sont souvent déjà perceptibles dès la maternelle, mais malheureusement, les enseignants ne sont généralement pas formés pour pouvoir les repérer.

En général, les premiers signes de dyslexie ne sont repérés que lors du CP avec des difficultés dans l'apprentissage de la lecture et de l'écriture.

Ensuite, il faut compter environ deux ans de rééducation orhtophonique avec persistance des symptômes après la suspicion de dyslexie pour qu'un diagnostic soit établi. (Sans compter les autres bilans médicaux à faire qui viendront également confirmer ce diagnostic : bilan auditif, visuel, d'orthoptie, orthoptie, QI...). Donc, l'enfant est en général en CE2 lorsqu'il a enfin un diagnostic de "dys".

Les prises en charge dès le CP il faut malheureusement l'avouer, sont très rares. Un enfant qui n'entre pas dans les apprentissages pose problème pour plusieurs raisons.

S'il est dyslexique, le manque d'informations, de formations des enseignants, crée une relation difficile entre l'élève et l'enseignant.

Ce dernier peut se retrouver en situation d'échec : difficile de faire progresser un enfant dyslexique en lecture et en écriture, sans un minimum d'information. C'est souvent l'incompréhension qui domine, créant un sentiment d'échec des deux côtés.

L'enseignant aura beau vouloir aider : l'accompagnement ne sera malheureusement pas forcément adapté aux dysficultés de l'enfant.

Bien sûr, tous les enfants ayant des difficultés dans les apprentissages en CP ne sont pas tous dyslexiques ! Mais tous, devraient être accompagnés et ce, des les premières signes d'alerte. Et les dys devraient être repérés dès le CP et recevoir un accompagnement adapté dans le même temps.

Cela peut se faire, des documents à l'attention des enseignants (à partir de la maternelle) existent. Il faudrait que ces derniers reçoivent des formations adaptées et les moyens d'accompagner tous les enfants de leur classe.

Il arrive encore trop souvent que des enfants dyslexiques passent au travers des "mailles du filet", et ne sont repérés qu'au collège. Ils ont compensé pendant des années, faisant preuve d'une immense volonté et combativité, mais se retrouvent parfois anéantis lorsqu'à bout de force, ils ne sont pas épaulés péadagogiquement comme ils auraient dû l'être.

Beaucoup d'enseignants sont là pour aider nos enfants. C'est à l'Education Nationale de donner aux enseignants les moyens (informations et formations obligatoires sur les troubles dys) de pouvoir accompagner nos enfants comme la loi le prévoit.

La souffrance des enfants dys à l'école ne devrait plus exister.

Amicalement.

reperer les signes en maternelles pour certains certes mais attention car à l age de la maternelles,

ces signes peuvent etre physiologiques et normal dans l approche du graphique...

un enfant peut tres mal parlé à ( 3 ANS JUSQU à 5 ans ou peu parler) c est pas pour ca qu il sera dyslexique ou dysphasique.

ou autres difficultés.

c est la classe de cp qui est tres important et là les enseignants doivent avoir l oeil...

par contre, on fait redoubler souvent la GS maternelle, et ca c est pas souhaitable car premiere la maternelle n est

pas obligatoire et la maturation du cerveau fait que vers 6 ans l enfant est pret pour apprendre à lire (selon l enfant)

car la lecture va de 6 à 8 ans (certains à partir de 5 ans); les enfants dysphasiques peuvent apprendre commencer

vers 5 ans (methode impregnation syllabique ou reeducation aphasiologique neurolinguistique dr g).

C est bien de voir les signes tot des dys mais il faut pas que cela rentre dans la spiral des angoisses dès que l enfant est

a soi disant de ssignes en maternelle (j avais pourtant pas mal de probleme en maternelle (j etais suivi) mais

de soutien à l ecole comme on peut en faire de nos jours en maternelle et surtout faire la pedagogie active des année 70

de la maternelle et pas ce que souhaite l EN avec les evaluations que les instit passent leurs temps à remplir (j aurais

jamais pu passer au cp), relation et suivi liberal plutot et l ortho c est vers 4 ans et demi (avant padovan plutot et suivi

pedopsychiatre pour parler des difficultés rencontrés.

entre les parents qui ont eu ou dans la famille , fatrie des difficultés avec l ecole et garde le mauvais souvenir et sont

inquiet pour les enfants, et etre dys il y a une marge.

rachel

Le Dr Zorman et l'équipe de Cogniscience a travaillé sur le "repérage" précoce des enfants à risque avec ensuite une remédiation phonologique, métaphonologique et un abord de la lecture et de l'écriture par la syllabique avec apprentissage de l'alphabet en premier.

Les tests ont été étalonnés pour les 15 mois à 5 ans et 11 mois. Seuls les enfants qui montrent un retard de langage oral sont concernés et la distinction peut se faire entre le simple retard de langage et le retard à risque de trouble spécifique.

Personnellement, je pense qu'il serait bon de faire pour tous les enfants un apprentissage métacognitif et une approche multisensorielle de la lecture et de l'écriture avec un départ par l'apprentissage de l'alphabet et des syllabes.

Ainsi, il n'y aurait plus lieu de repérer avec des tests très tôt. Tout aurait déjà été cadré et les enfants pourraient être repérés sans tests, le retard anormal se verrait tout seul car toutes les précautions auraient été prises avant.

mon fils a 17 ans et les premières difficultés sont apparues vers 5 ans, mais avant son langage n'était pas fluide,c'était un prématuré

Message édité par : ID / 15-03-2011 08:49

Message édité par : ID / 15-03-2011 08:50

Bonjour,

Moi, du fait d'une soeur dys, son frère est en cp et bénéficie d'un pps, d'orthophonie, de psychomotricité,de psychologie , de cours particulier avec une méthode syllabique. Il a fait de gros progrès depuis le début du cp.

Alors que pour sa soeur, le diagnostic et le pps ont été mis en place début cm1. Quelle perte de temps !!

A ce jour, je n'ai trouvé aucun professeur d'école investi qui demande à rencontrer les partenaires.

Quel dommage !!

étoil=e

Repérer le plus tôt possible est essentiel.

Et si cela permet d'aider des enfants non dys présentant également des difficultés dans les apprentissages, je ne vois pas où est le problème.

Une prise en charge rapide et précoce devrait se faire quels que soient les troubles de l'enfant. Cela éviterait avant tout que l'enfant se retrouve en souffrance et démarre sa construction avec une image de lui-même bien peu positive.

Message édité par : LAC / 15-03-2011 09:26