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le cerveau et les connections...  

rachou
(@rachou)
Membre d\'honneur

Le cerveau sans repos !

Un cerveau dys ou non fonctionne en permanence. Le travail du jour et de la nuit est différent. La nuit, il range les informations de la journée.

La pensée continue c’est pourquoi on rêve !

On n’arrête pas de penser, réfléchir… !

L’ennui c’est le vagabondage de la pensée par les mots, les images cela permet d’imaginer et de créer.

Être créatif et inventif ce n’est pas forcément un dys mais un fonctionnement du cerveau et de voir les choses. Les dyslexiques sont des êtres qui sont créatif et doués pour l’artistiques mais je pense c’est une association entre un esprit créateur et un dyslexique. Comme le dyslexique a des difficultés pour les tâches de lecture et d’écriture au moins au début ; le dys va développer l’imaginaire et la créativité ce qu’il va l’aider à apprendre à lire, comprendre la lecture, l’écriture et les maths.

Dans les cas les plus sévères, on peut avoir de la créativité mais on va avoir du mal à l’organiser les choses.

Pour tous enfants, il faut développer la créativité, l’inventivité, l’artistique comme pour des tâches de raisonnement logique et littéraire (lecture, compréhension, abstraction.

Si un enfant s’inquiète car il pense et réfléchi en permanence partout c’est un fonctionnement psychologique qui veut que l’enfant ne peut s’arrêter de travailler. Ce n’est pas forcément un problème dyslexie.

Quand on pense… on a parfois du mal à trouver le sommeil c’est l’épuisement mental qui va rencontrer le sommeil. Mais avant de dormir, il est bon de rêvasser, d’imaginer… , de lire. Certaines personnes dorment quelques heures ou d’autres ont besoin de beaucoup plus jusqu’à une dernière limite.

Il faut se poser la question pour certains s’activent que d’autres en terme de créativité (neuronale) et d’agitation ? apprendre à s’ennuyer, à faire la sieste (pour lire et non pas pour dormir) est bénéfique mais certains en sont incapables. Alors pourquoi ? Comment est la relation au sein de la famille, comment l’enfant ressent les choses ? Qu’est-ce que c’est passé dans les générations précédentes (avec les non-dits, les dits non explicites) ?

Tout cela influence sur le fonctionnement du cerveau en terme linguistique, cognitif, créativité, de stimulation cérébrale et d’agitation.

Quelqu’un qui s’inquiète de penser trop et de ne pas pouvoir s’arrêter ?

C’est aussi un signe d’une certaine anxiété que les dys peuvent avoir mais que tous élèves peuvent aussi avoir. C’est un fonctionnement psychologique indépendant. À part, le fait que le dys est anxieux car le diagnostic a été tardif et malgré la rééducation : les difficultés scolaires sont patentes. Il faut voir si l’orthophoniste et la prise en charge ne doivent pas être revues.

Le trouble de l’hyperactivité et de l’attention est de plus en plus dépister, certes le dépistage et les connaissances sont meilleures mais il y a beaucoup de facteurs que le favorisent ; par conséquent, la prise en charge doit être individualisé.

Les dys ne sont pas associés à ses troubles. C’est juste quand il n’est pas pris en compte (dys), l’élève semble ailleurs et préfère s’envoler pour éviter de toute suite tomber dans la déprime. Il est dit (ne se concentre pas, regarde ailleurs, ne s’intéresse pas, n’écoute pas…). Un trouble de l’attention peut se créer si rien n’est fait. Le cerveau est modulable quand on ne fait pas marcher certaines zones de travail car on ne comprendre pas, l’attention n’est pas utiliser et donc se crée par contre si il fait quelque chose qu’il comprend et lui plaît, elle revient. L’agitation et les troubles du comportement se manifestent de la même façon.

Être dans l’agir et le débordement !

Pourquoi ?

De toute manière, on veut tous que les enfants s’envolent ? Les enfants prennent leur envol dès la naissance ! Ils sortent du nid à partir de là (se prépare et les parents doivent se préparer dès la naissance à laisser sortir du nid familiale l’enfant dès la naissance pour la vie adulte).

Le fonctionnement psychique joue un rôle dans l’apprentissage sans qu’il ait de trouble instrumental. Quand les troubles instrumentaux existent ; il y a forcément des manifestations au niveau psychique qui se font. Il y a donc deux prise en compte pour prendre en charge un enfant dys : les troubles instrumentaux et le psychique (tu as les capacités mais tu as soucis dans les manipulations langagières). Des soucis linguistiques dans le sens où le cerveau a du mal à les faire fonctionner, les organiser pour les mettre en pratique… il faut une rééducation, une envie, une volonté pour pallier ses problèmes. Après il faut les entretenir, les enrichir, les développer. C’est le rôle parentale, pédagogique et de soi. Les autres élèves n’ont pas des difficultés mais il faut aussi qu’ils apprennent à créer leur potentiel et leur créactivité. On rencontre tous des difficultés. Il faut accepter et s’écouter. Si les autres se moquent de toi, il faut se dire qu’ils se moquent d’eux-même ! l’enfant imite les adultes, ceux sont les adultes qu’ils donner des limites, mais l’enfant découvre par des expériences (interdite par les adultes aussi et les adultes ne vont jamais le savoir, ils vont apprendre par eux-même et leur éducation que c’est interdit !

L’adolescence, dans le cadre d’une famille dite aisée et sans difficultés sur le plan social et financière, il est période qui est fugitif et virtuel… une création de notre société occidentale, de nos jours car elle n’existe pas !

L’adolescence, c’est le changement corporel et de cœur… et les moqueries ne sont à prendre avec du recul car quand on parle aux autres, on se parle d’abord à soi ! C’est difficile quand on est dys, on a des difficultés diverses et des moqueries car la prise en charge a été tardif… on se sent viser mais il faut essayer d’aller au-delà !

Plus on attend, plus les difficultés scolaires sont patents ceci arrête la créativité et le cognitif est en péril c’est pourquoi de nos jours on parle de multi-dys ? mais cela veut dire et on fait quoi ! surtout que par la suite c’est une régression cognitive, mentale et intellectuelle. Les enfants dits avec un QI bas peuvent apprendre à lire, écrire et compter… il suffit de voir où se situe le problème (linguistique (travail specifique comme le travail aphasiologique), psychique, psycho-affectif, cognitif et les capacités de l’enfant (musical, visuel, auditif, kinesthésique…).

Il faut surtout cibler la première difficulté le plus rapidement possible pour mettre en route la prise en charge.

Si les troubles sont sévères et la prise en charge est de progression lente… il faut penser à faire faire un diagnostic différentiel par un bilan aphasiologique pour des troubles de type aphasique auprès d’une des orthophoniste compétente !

Le trouble de l’hyperactivité et de l’attention sont très spécifiques.

Soit il y a un trouble de l’attention, objectivé par un EEG et/ou la clinique ce qui a des conséquences sur l’apprentissage et les troubles de l’agitation et l’impulsivité ! Un traitement type antiépileptique peut être prescrit mais à surveiller car certains aggravent les troubles des apprentissages et donc de l’attention.

Soit il y a spécifiquement un trouble de l’hyperactivité mais l’attention est présente (du moins au début si le diagnostic n’est pas tardif), il y a suivant les signes cliniques… un traitement médicamenteux peut être prescrit mais les cas sont rares (pour que le traitement soit efficace, les autres c’est souvent secondaire à d’autres troubles.). Le traitement est un psychostimulant avec surveillance car il peut y avoir troubles du langage donc par la suite du comportement. Ce
la signifie que l’amnanèse doit être réalisé de manière à savoir s’il y a des crises comitiales, des antécédents de convulsions, antécédents d’épilepsie, de retard de langage… !

Pour la dyspraxie, il faut un bilan du langage oral et écrit obligatoirement (dictée, copie, écriture spontanée, dessins…).

Pour la dyspraxie visuo-spatiale, il faut avant tout faire un diagnostic différent entre un syndrome de balint (oculomotricité) et des pseudo-lésion au niveau des lobes occipital et temporale (le plus souvent). Cela permet de mieux mettre en place la thérapeutique. L’observation de l’enfant dans la vie courante par rapport à des incitations verbales pour faire la réalisation de gestes est à tenir en compte.

Un enfant qui se tombe souvent, maladroit… il faut un diagnostique différentiel sur un trouble de l’hyperactivité (on va trop vite et fait pas attention) sur la dyspraxie. Il faut s’interroger pourquoi ne cesse de bouger, est maladroit (est-ce vraiment un trouble instrumental ou d’ordre psychologique ou c’est la pression sociétale !).

Un trouble mnésique, est-ce un vrai problème de mémoire ou plutôt linguistique (les problèmes mnésiques ont été mis en évidence dans les cérébrosés ou perte de la mémoire dans certaines pathologies cérébrales comme la méningite bactérienne mais jamais dans le développement de l’enfant) ou c’est une protection psychologique ! Comme une amnésie se formant progressivement.

Il faut connecter les cases autonomes du cerveau entre-eux pour le bon fonctionnement cérébral ; il faut faire sens pour le moteur et la linguistique peuvent se faire ensemble et développer le cognitif où le besoin vital cognitif est présent dès la naissance pour se faire et mettre en place notre propre créativité, nos besoins, notre imagination, notre inventivité, nos compensations… certains cela va tous seul mais on peut très bien être un excellent élèves puis tout à coup le cerveau ne suit plus au niveau scolaire… où se situe le problème ?

Pour connecter ces cases, il faut faire sens… pas facile… le bébé doit faire sens pour s’organiser tant au niveau physique puis psychique… une difficulté à faire sens peut avoir des difficultés sur les apprentissages, le langage et la communication !

Préalable sensoriel :

C’est la non-saisie de la représentation de faire sens pour percevoir et comprendre pour mettre en route la machine linguistique et/ou motrice. L’enfant semble immature sur le plan psychomotricité et/ou langagier ; ce qu’il peut avoir un effet sur le psychique et la fonction psycho-affective de l’enfant ; une régression neurologique (cognitif, mental, intellectuel).

On est toujours premier pour certains.

Les élèves dits dans classe moyenne sont parfois dans les premiers, les derniers, au milieu cela change selon nos difficultés diverses !

Il faut surtout rester en harmonie avec soi-même ; en équilibre par facile… mais cela aide pour avancer et rentrer dans la vie adulte.

Il vaut sortir de l’enfant le plus tard possible et sortir le plus tôt possible de l’adolescence dans un sens. C’est l’enfance qui prépare l’être en adulte, pas l’adolescence ; l’adolescence c’est la prise de conscience du développement de son corps, du cœur, de la sexualité et de soi… !

La fatigue et le stress sont épuisant pour tous et affecte les résultats et les performances.

La pression sociétale est la conséquence sur la pression scolaire et professionnel d’où des difficultés handicapantes… on fait le trie, le ménage… c’est une volonté inconsciente de notre société et des humains (être le meilleur). On est sorti de la nature pour rentrer dans la culture pour être plus égalitaire : sorti de la loi du plus fort et du plus faible… mais au contraire on veut montrer le meilleur de soi-même… ! on a inventé la justice pour limité l’injustice mais la justice n’existe pas… !

Ce sont les difficultés qui font qu’on est à l’écoute des autres, de soi-même… !

On est en crise humanitaire sur tous les plans… on demande juste d’humanité mais être à l’écoute des autres c’est difficile car cela passe avant tout pas l’écoute de soi… ! et être à l’écoute de soi… est une chose difficile c’est une rencontre avec soi-même ; il faut accepter ses défauts, qualités, difficultés pour avoir confiance en soi et s’estimer mais on se bat dans notre intérieur. Il faut se comprendre et donc accepter… et vagabonder dans sa pensée, dans son psychique pour être quelqu’un…

Les difficultés d’apprentissages sont diverses mais les associations entre les difficultés psychiques et intrumentales se croisent comme pour tous individus non dys.

Les aides sont bénéfiques mais il faut pouvoir lâcher les aides à un moment… ceci n’est pas si facile quoi qu’on dise… des aides scolaires et qui sont par la suite nécessaire dans la vie professionnelle (dépendance psychique lié à des difficultés instrumentaux et qui résulté d’une dépendance de la dopamine et du psychique).

Si les troubles sont très sévères, le cursus ordinaire est difficiles… les classes spécialisées sont créées pour ces élèves mais il serait bien que nos jours les centres référents du langage prennent en compte le bilan aphasiologique et le travail aphasiologique dit la rééducation neurolinguistique !

Pour affronter la vie adulte, il faut avoir une enfance et savoir s’ennuyer dans son esprit (imaginer, créactivité imaginaire, inventivité, pensée en mot et en image…) !

Retrouvons la maternelle des années 1970 en France !

L’enfance c’est apprendre par diverses méthodes à se créer, se récréer, se divertir, à se relaxer… les activités hors scolaires sont faites aussi dans ce sens… et diverses méthodes comme l’eutonie.

Rachel ALLAIR

ALLAIR

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Topic starter Posté : 25/11/2010 4:08
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Rachou,

Je vous cite :

"Les dys ne sont pas associés à ses troubles."

Eh bien, si on a "le droit" d'être dys et d'avoir en plus un trouble déficitaire de l'attention !

"Un trouble de l’attention peut se créer si rien n’est fait"

Non, un trouble de l'attention ne se crée pas. Pour établir un diagnostic de TDAH, il faut que certains symptômes qui permettent d'établir ledit diagnostic soient présents avant l'âge de 7ans.

D'ailleurs, pour parler de TDAH, on donne généralement trois conditions majeures :

-En décalage avec les enfants de son âge

-Symptômes présents avant l’âge de 5 ans

-Symptômes présents dans toutes les situations

Pour information :



Seuls 20% des personnes ayant un TDAH n’ont pas de troubles associés

Le TDAH est donc souvent accompagné d’autres troubles :



Troubles des apprentissages : 50% dont 20% dyslexie/dyscalculie

Troubles du sommeil : 50%

Troubles oppositionnels : 35,2%

Troubles anxieux : 25,8%

Troubles des conduites : 25,7%

Troubles dépressifs : 18,2%

Syndrome des jambes sans repos (25%)

Autres troubles :

Enurésie et encoprésie

Tics et Syndrome de Gilles de la Tourette

Lors de certains diagnostics de TDAH, un traitement sous forme de méthylphénidate peut être proposé mais cela n'est pas rare !

Et même si en France, le sujet de la Ritaline (ou Concerta) continue à être tabou, il ne faut pas se voiler la face : c'est la sortie du tunnel pour certains enfants ou adultes. Et se sentir mieux dans sa peau et vivre mieux, laissons le droit à chacun de faire ses choix !

Nous sommes d'accord sur un point : le diagnostic doit être fait par un professionnel.

Amicalement.

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Posté : 25/11/2010 4:39
rachou
(@rachou)
Membre d\'honneur

je ne dit pas qu'il ne peut avoir d associations... j ai pas dit ca dans mon texte... j ai il faut des liens et les prof avec les tests etalonnes sans voir la clinique (obervation est de plus en rare)...

mais je suis par claire apparemment...

et je suis pas ok ... si on prend pas en charge un dys ... par la suiite il va avoir des difficultes pour se concentrer et attention sur le plan cognitif et psychique... donc si on peut creer les problemes d attention...

de on a tous des troubles associations quand on a des difficultes et surtout pas pris en charge ou tardivement...

j aime pas les statisttiques...

je prefere la clinique, la relation et la prise en charge... et surtout pas le DSMIV et la cim pour les diagnostics y a mieux pour les diagnostic.

rachel

ALLAIR

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Topic starter Posté : 25/11/2010 4:55
rachou
(@rachou)
Membre d\'honneur

La pression sociétale se manifeste par des angoisses et des peurs des parents se manifestant par la suite sur le fonctionnement psychique et cognitif (linguistique) dans les apprentissages de l’enfant. Le rôle de prise en compte de l’enfant dans notre société est une avancée remarquable mais il faut éviter l’infantolâtrie ! et de vouloir apprendre plus vite aux enfants les acquisitions scolaires ce n’est pas parce que les enfants parlent plus tôt qu’au siècle dernier (19 et début du 20ème) qu’on doit repousser les limites des performances.. il faut le temps d’organiser le psychique, le fonction psycho-affective, le moteur, la lingistique et l’organique… je rappelle que le bébé humain n’est pas mature quand il naît par rapport aux autres animaux (il ne marche pas même si en position débout il se met à faire de pas (les prémices de la marche sont dans le cerveau (je rentre pas dans les particularités). Il faut donc une maturation physiologique, motrice et sensorielle pour affronter les apprentissages. La maturation motrice et physiologique se fait par expérience émotionnelle, relationnelle, sensorielle… la linguistique se met en place rapidement (dès la naissance mais il faut le temps pour parler puis lire et écrire).

Pour parler, il faut mettre en place la mécanique de la phonation (organes phonatoires), cela veut dire qu’un enfant peut avoir un retard physiologique parole/langage jusqu’à 4 et demi / 5 ans. Il peut se mettre à parler avec la lecture sans être dys ou autres. On se met à parler car on est fait pour la parole pourvu qu’on entend la parole de l’autre et que le fonctionnement linguistique se met en place correctement. Lire et écrire sont des apprentissages cognitifs qui dépendent de la linguistique. On ne se met à parler tous différemment et donc pour apprendre à lire et écrire aussi… (la musique de parole, l’intonation, l’émission du message, la relation, les mots, les syllabes…).

Je termine :

Quand on les aura conditionnés précocement à la soumission scolaire et à la compétition, que restera-t-il de leur curiosité, de leur intelligence et de leur confiance ? Et que restera-t-il de leur enfance ?

Cette dernière phrase est tirée de la chronique de Caroline Eliacheff sur France Culture réécrit dans son dernier livre de 2010, le titre est lire au berceau (ou plutôt apprendre à lire dès 4 ans à l’école maternelle).

Et la chronique de Caroline Eliacheff d’hier sur France culture, c’est qu’attendons nous ? sur la prise en charge des difficultés scolaires et sur le rapport sur l’école !

Rachel ALLAIR

ALLAIR

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Topic starter Posté : 25/11/2010 4:55
rachou
(@rachou)
Membre d\'honneur

lac

merci pour les informations mais tout cela se connait sinon j aurais pas fait mon texte...

et oui la ritaline, c est pas avant 6 7 ans c est tres logique... dans un sens quand on connait le developpement de l enfant... puis faut des signes bien precis...

enurésie et encopresie c est associé à d autres problemes comme tous les problemes que vous cités ...

la ritaline et le concerta est une sorti c est sure mais si on savait observer cliniqement sans faire de tests etalonnées pour les statstiques et savait faires des liens entre linguistique et manque d attention agitation, enuresie et encopresie, trouble du sommeil... et s en passe ... par rapport aux echec scolaire et difficultes... ca serait une bonne chose...

ON va surement aller vers une medication accru sur la ritaline et le concerta car depuis 6 ans l augmentation est bien là mais on agit sur la cause pour certains mais pour d autres que sur le symptomes... pour rentrer dans la norme de la societe ... c est l agir et debordement une maladie de la sociéte depuis toujours c est le trie mais cela se voit de plus en plus ...

c est la maladie sociétale , c est symptomes...

enfin c est complique c est un livre que je devrait faire... je crois... pour expliciter ma pensée..

rachel

ALLAIR

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Topic starter Posté : 25/11/2010 5:07
rachou
(@rachou)
Membre d\'honneur

il faut surtout savoir si c est un vrai troubles ou secondaire et pour ca il faut etre obserateur et vrai clinicien pour faire des liens.

rachel

ALLAIR

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Topic starter Posté : 25/11/2010 5:10
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