Forum

Faurum

Notifications
Clear all

Décrochage scolaire  

Page 1 / 2
nine67
(@nine67)
Membre actif

Bonjour à tous,

Mon fils de 10 ans vient d'être détecté "dyslexique important" selon son orthophoniste. Je vous explique son cursus pour que vous compreniez mieux notre problème.

Depuis la grande section de maternelle, les différentes enseignantes qu'il a eu, n'ont eu de cesse de me répéter que mon enfant était caractériel, d'une intelligence plus que moyenne, d'un manque de maturité important, de troubles psychologiques graves provoqués évidement par ses parents. Je l'ai amené chez un orthophoniste à 5 ans car il bégayait et chechetait, elle l'a suivi pendant deux ans et lorsque je lui ai demandé s'il était dyslexique, elle m'a répondu que les parents utilisaient des mots un peu trop à la mode. Donc j'ai abandonné cette piste, mais son comportement scolaire n'a cessé de s'aggraver, les enseignantes le targuait de fainéantise car il répondait plus vite que tout le monde à l'oral, l'écrit restant une catastrophe. J'ai demandé un suivi par le rased, mais la psychologue s'est focalisé sur le fait que son père est souvent absent et que l'enfant est le seul mâle d'une fratrie de filles. Son échec scolaire, le refus de s'occuper de lui par les enseignantes, mes bagarres incessantes avec le corps enseignant ( je rencontrais les institutrices une fois par mois, pour m'entendre dire qu'il était fainéant et caractériel) nous ont décidé à le changer d'école.

Dès la rentrée, l'institutrice m'a demandé de lui faire passer un bilan ortho, le bilan s'est étalé sur trois séances tellement l'étendue est large. Mais quand le bilan est tombé, j'en ai pleuré de joie. L'ortho était sidérée, quand je lui ai expliqué le nombre de batailles, le nombre de fois où j'ai entendu que tout était ma faute car je ne savais pas éduquer mon enfant. Oui c'était un soulagement.

La mauvaise nouvelle est que mon fils s'est mis à parler : les enseignants et le directeur de l'école précédente se faisait une joie de le rabaisser devant ses camarades, railleries sur ces capacités intellectuelles, mis en valeur de sa "fainéantise" et ce depuis le cp, malheureusement je ne l'apprends qu'aujourd'hui. A une époque mon époux et moi-même avons très dur avec lui, car le discours des enseignants, et psychologue de l'école nous avez donner à penser qu'ils avaient peut-être raison.

Aujourd'hui il peut passer 1h30 à 2h00 sur un exercice, sa nouvelle instit a dû mal à accepter cela, elle a déjà eu un enfant dys dans sa classe et il travaillait plus vite. Lorsqu'il ne comprends pas une exercice il décroche et rêve, il s'échappe dans son univers. Son instit et moi-même avons parlé avec lui, pour lui faire comprendre que nous allions l'aider mais qu'il fallait un minimum de motivation de sa part pour cela.

A la maison, nous l'encourageons pour ses progrès aussi mince soit-il, je le fais travailler sous forme de jeu et cela fonctionne bien, mais en classe c'est un autre problème.

Pourriez vous me donner des conseils.

Quote
Topic starter Posté : 14/10/2008 12:04
Dref
 Dref
(@Dref)
Membre éminent

J'ai des frissons en lisant votre post, car il me rappelle les épreuves passées avec mon fils.

Dites-vous une chose : maintenant, vous savez ce qu'il a , il le sait lui aussi.

Il a parlé, c'est qu'il a compris, à la faveur de ce bilan qu'il n'est ni un imbécile, ni un fainéant.

A vous de lui dire qu'il n'a pas à subir ce qu'il a enduré, que c'est dégueulasse, et que vous serez toujours à ses côtés pour le soutenir, que vous n'aviez pas mesuré ce qu'il a enduré, parce qu'il ne vous l'avait pas dit, mais que vous êtes déterminés à le protéger.

Ecrivez à son ancienne école pour leur dire ce que votre fils a raconté, dites-lui que vous leur écrivez pour mettre les points sur les I.

Et puis regardez vers l'avenir. Expliquez lui que désormais des adultes bienveillants vont pouvoir l'aider à surmonter ses difficultés, que ça prendra le temps que ça prendra, mais qu'il va avancer pour compenser son handicap.

Rassurez-le, rassurez-vous. Enfin, un dernier conseil : faites plus de soutien moral que de soutien scolaire. Il a d'abord besoin de se reconstruire, et vous aussi sûrement.

Je vous souhaite bon courage.

Fred

RépondreQuote
Posté : 14/10/2008 1:54
Claude
(@Claude)
Membre noble

Expliquez à la nouvelle enseignante de votre fils qu'il y a diverses gravité de dyslexie.

Votre fils n'ayant pas été pris en charge correctement à l'école, sa dyslexie n'a pu que s'aggraver.

Ecrire est devenu pour lui synonyme de torture. SUbir la torture tous les jours, quoi de plus naturel d'être obligé de s'évader ailleurs dans un monde imaginaire pour garder sa raison et son équilibre mental !

Pour un enfant dyslexique dans cet état, on conseille de ne faire que quelques phrases d'un exercice. Ne pas continuer lorsqu'il commence à fatiguer et à se tromper. Cela revient à le remettre en situation d'échec et à retourner le couteau dans la plaie.

Certains passent à l'oral uniquement pour réhabituer ensuite tout doucement à l'écrit sans traumatisme.

Soulagez l'écriture et la lecture autant que possible pour qu'il puisse continuer à engranger les savoirs et les bases nécessaires pour la suite de sa scolarité. Lisez et écrivez pour lui pour les devoirs. Cela peut se faire sans problème dans le cadre d'un PPS. C'est de l'enseignement personnalisé et c'est indispensable dans le cas de votre fils.

Courage à vous 2, armez-vous de patience et de compréhension, il s'en sortira, mais il lui faut du temps et beaucoup de soutien de la part des adultes pour ça. Sa confiance dans les adultes est ébranlée, sa confiance en lui aussi, il faut reconstruire tout ça avec beaucoup d'amour.

Beaucoup d'entre nous sont passés par là. Moi aussi cela me rappelle mon fils. Lorsqu'il me parle de ces années d'enfance, il en a encore les larmes aux yeux. Mais il est devenu un ado solide qui se bat et le sourire est revenu depuis peu, depuis qu'il a des aménagements en temps pour faire ses contrôles.

Message édité par : Claude / 15-10-2008 05:58

RépondreQuote
Posté : 14/10/2008 10:04
nine67
(@nine67)
Membre actif

Je vous remercie tous les deux, pour vos conseils et votre soutien.

Ce matin je me suis effondrée toute la matinée, l'instit veut le mettre au fond de la classe. A nouveau la galère, les explications, les négociations, je suis mentalement vidée en ce moment. En rentrant j'ai appelé l'ortho qui m'a rassurée. Effectivement, cela prendra du temps et on s'en sortira, j'en suis sûre. Elle m'a proposé de contacter l'instit. Ce soir miracle, pour la première fois en 5 ans d'école primaire il a levé le doigt et s'est exprimé devant tout le monde, pour la première fois je n'ai pas de mots dans le cahier me disant que mon fils ne fait rien en classe à part rêver.

Pour la peine nous avons été choisir un jouet star wars, il est heureux et finalement je me dis que tout n'est pas si moche. Même s'il y aura encore des périodes difficiles à venir.

Ce site, ce forum que j'ai beaucoup visité depuis hier, m'a énormément apporté, les articles, le forum j'ai beaucoup appris et cela m'a beaucoup appris et m'aidera encore.

Et je me sens rassurée ,de savoir que d'autres ont connu des situations similaires, et en colère contre tous ceux qui aurait pu l'aider mais qui ont choisi la facilité. Et je vais effectivement suivre tes conseils Fred, écrire à son ancienne école, puis tirer un trait, et avancer avec lui.

Sandrine

RépondreQuote
Topic starter Posté : 14/10/2008 11:16
Dref
 Dref
(@Dref)
Membre éminent

Bravo Sandrine, et c'est super de voir qu'il est si volontaire pour réussir.

Mon fils m'a souvent dit comme il voudrait être un bon élève. Et je lui ai toujours répondu qu'il était non seulement un bon élève, mais un très bon élève. Mais qu'il est en difficulté à l'école (et pas ailleurs, heureusement).

Un élève en difficulté et un mauvais élève, ça n'a rien à voir, mais le premier peut devenir le second par lassitude, évidemment.

C'est génial qu'il ait participé en cours, ça veut dire que la confiance et/ou la rage d'y arriver sont là ! C'est super que l'ortho veuille le contacter.

Je voulais juste vous dire un truc par rapport au fait de tirer un trait sur ce qui s'est passé : vous ne pouvez pas le faire pour lui. Vous, vous pouvez, vous devez, l'aider à le faire. Mais c'est lui qui doit digérer ce truc. Et pour ça, vous serez sa meilleure alliée, c'est sûr, avec son ortho et pourquoi pas son instit s'il change son point de vue sur l'enfant…

Vous êtes en bonne voie !

Fred

RépondreQuote
Posté : 15/10/2008 10:03
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

bonjour nine 67,

Citation : "et en colère contre tous ceux qui aurait pu l'aider mais qui ont choisi la facilité."

Normal d'être en colère. Nous sommes parents, nous voyons notre enfant en souffrance et nous sommes impuissants.

J'ai aussi eu envie d'aller revoir directeur ou enseignant pour leur dire "la vérité" : dys pas fainéant ni stupide ou tout le mal, la souffrance qu'il avait dû endurer.

Je ne l'ai pas fait pour deux raisons : leur réaction (le risque est de se remettre à nouveau en colère car rien ne vous dit qu'il auront une quelconque compréhension à l'égard de votre enfant ou remise en cause de leur personne) et aussi parce que je sais fort bien en tant qu'adulte que la bêtise est tellement ancrée chez certains... que pour la déloger.......

Vous dites : "la facilité". Beaucoup ne sont pas dans la facilité mais justement dans la bêtise et l'ignorance. Ce qui est à mes yeux beaucoup plus grave.

J'ai donc toujours préféré expliquer à mon fils, la bêtise, l'ignorance de certains adultes face aux dys et à tout ce qui est différent. Quand on grandit et même une fois adulte, on le constate tous les jours, on ne peut jamais échapper à la bêtise, à l'ignorance, à la méchanceté de certains. IL faut s'y faire, elles font partie de notre monde.

Amicalement.

RépondreQuote
Posté : 15/10/2008 4:15
Dref
 Dref
(@Dref)
Membre éminent

Lac, je suis d'accord, on ne changera pas les imbéciles, mais en revanche, cela fait du bien de le leur dire ou de le leur écrire. Jeter dans la boîte un courrier bien balancé pour mettre les points sur les I, moi ça m'aide. Même si je sais parfaitement que j'ai peu de chance de faire évoluer un hostile aux dys, au moins je ne suis pas restée les bras ballants.

Moi je suis comme ça, ça me fait du bien, ça ne m'empêche pas d'être réaliste vis-à-vis de mon petit loup et de lui parler franchement, mais j'aurai presque honte de ne pas le faire. En fait, je ne sais pas bien courber l'échine, je crois.

Mais bien sûr, c'est à chacun de réagir comme il pense, et chacun ne met pas non plus le curseur de l'insupportable au même niveau. Le mien de niveau est d'ailleurs variable… :#

Fred

RépondreQuote
Posté : 15/10/2008 5:51
nine67
(@nine67)
Membre actif

Cela me fera un bien énorme de leur écrire et leur dire tout le mal qu'ils ont occasionné. Je pense qu'à force de se taire ils ont un sentiment de toute puissance. Effectivement, Lac cela ne changera pas leur façon de voir les choses, j'en suis persuadée mais cela me soulegera tellement. En revanche, cela fait deux jours que je suis sur cette lettre car je veux bien choisir mes mots, je ne veux pas qu'elle soit agressive mais éducative. Même si je sais pertinemment qu'elle ira à la poubelle.

Quant à mon fils, je pense que c'est plus la rage qu'il le fait avancer que la confiance, il a peur et je ne sais comment lui enlever cette peur. Dans tous les cas, je pense que la discussion entre l'instit et l'ortho a porté ses fruits car elle semble plus compréhensive avec lui depuis mardi. Mais ça ne fait que deux jours.

Hier, il devait tracer un rectangle de 14.5x25 cm sur une feuille et le découper. Il a tourné sa feuille pendant 10 min, mis la règle dans tous les sens, puis il m'a regardé et m'a dit je ne sais pas le faire je ne comprends pas.Je lui ai dessiné et expliqué. Il m'a répondu "ah, c'est que ça". Il y a encore six mois je n'aurai pas compris qu'il ne sache pas faire. Nous faisons nos premiers pas ensemble pour qu'il se reconstruisent, je prends moins la tête depuis qu'il a été détecté il y a 3 semaines. Il mettra le temps qu'il lui faudra pour apprendre ses conjug et ses tables ou même la poésie. Je ne stresse plus sur les dictées. Et effet boule de neige, lui est beaucoup moins sur la défensive.

En revanche sa calligraphie est vraiment catastrophique, on a du mal à le relire, est ce que vous avez un truc pour le faire progresser sans trop être scolastique. L'instit m'a proposé de lui faire copier deux lignes d'un texte chaque jour mais je ne suis pas convaincu par le résultat et le ressenti de l'enfant. Il écrit très petit et n'arrive pas à respecter les interlignes, les lettres sont mal formés.

Merci pour votre aide

Sandrine

RépondreQuote
Topic starter Posté : 16/10/2008 3:03
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Bonjour Nine67,

En ce qui concerne sa calligraphie, je pense qu'il serait important de faire rapidement une bilan pour confirmer ou non s'il présente une dysgraphie (bilan d'ergothérapie).

Mon enfant est dysgraphique, il va entamer une rééducation en ergothérapie (il a fait deux ans de psychomotricité auparavant qui l'ont beaucoup aidé à progresser) et va bénéficier d'un ordinateur et d'un logiciel à reconnaissance vocale suite aux derniers bilans passés en centre référent.

Il a 10 ans, son écriture est qualifiée de "fonctionnelle". Mais certaines lettres sont toujours mal formées, impossibilité pour lui de respecter les lignes et les interlignes et grande lenteur pour pouvoir accéder à une écriture lisible.

Votre enfant est-il suivi dans un centre référent pour troubles du langage ?

Je pense qu'il serait bien que votre enfant puisse retrouver confiance en lui. Etre gouverné par la peur et par la rage en permanence, ce n'est pas normal. Tant qu'il n'aura pas un enseignant qui aura un regard bienveillant sur lui (en l'acceptant avec ses dysférences), les choses seront très difficiles pour lui. Avez-vous pensé à l'aide d'un psy ? (psy cognitive).

Continuez à montrer que vous avez confiance en lui, en ses capacités. Vous devez apprendre à le connaître. Vous verrez, il est capable de bien des choses !

Amicalement.

RépondreQuote
Posté : 16/10/2008 3:35
nine67
(@nine67)
Membre actif

Merci Lac pour ta réponse si rapide.

Il commence une psychothérapie durant les vacances qui arrive, et j'ai pris rdv avec un neuropédiatre, je pense qu'elle lui fera passer des tests plus approfondis?

Il n'est pas suivi dans un centre référent.

Si je reprends son bilan ortho ( qui est encore du chinois pour moi) il y a une dysorthographie massive, importantes difficultés de structuration temporale, expression orale difficile, les maths n'ont pas encore été testé. Il y a encore d'autres choses marquées mais je n'arrive pas à relire.

Pour l'expression orale, je n'avais jamais fait attention c'est l'ortho qui me l'a montré, il s'exprime très bien mais utilise un vocabulaire restreint, les mots qu'il maîtrise. Il faudrait qu'il lise mais il déteste ça.

sandrine

RépondreQuote
Topic starter Posté : 16/10/2008 4:24
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Normalement le neuropédiatre lui fera passer quelques tests lors du premier entretien et décidera en fonction de ce qu'il verra des bilans à faire.

Il risque de noter des problèmes d'écriture et de décider un bilan en ergothérapie. Si ce n'est pas le cas, parlez de ses difficultés pour écrire, insistez, il faut que vous sachiez.

N'oubliez d'apporter lors de cet entretien les bilans ortho. Ce bilan avec le neuropédiatre va vous permettre de bien avancer.

Bon courage.

RépondreQuote
Posté : 16/10/2008 8:03
Claude
(@Claude)
Membre noble

Rectification : il faudrait qu'on lui lise les livres pour qu'il puisse non seulement engranger du vocabulaire, mais profiter des connaissances qu'il y a dans les livres.

Il ne pourra lire de lui-même que plus tard, lorsque la rééducation aura donné ds compensations et qu'il sera moins fatigué par tous les autres efforts qu'il doit faire.

Moi, j'ai beaucoup lu pour mon fils avant qu'il le fasse lui-même, et des livres énormes ! Chose inimmaginable lorsqu'on sait qu'en 6ème il ne lisait encore que des bandes dessinées et encore ! pas les bulles ! il ne regardait que les dessins pour comprendre l'histoire.

Le fait de lire à sa place lui a permis d'acquérir le vocabulaire, les connaissances, le goût de la lecture, l'amour des textes bien écrits, d'acquérir les structures de phrases, les structures de narration, enfin tout ce qu'il faut.

SI je l'avais obligé à lire, il n'aurait pas lu les mots qu'il ne connaissait pas, donc il n'aurait pas compris leur signification (chercher dans le dico est aussi une torture et empêche la compréhension du texte par épuisement). Il n'aurait pas appris tout ce qu'il a appris sur pleins de sujets, sur pleins de sentiments, sur pleins d'évènements... Il aurait appris à détester la lecture, les livres, l'écriture. Maintenant il aime inventer des histoires, écrire des poèmes etc... et les fautes il s'en fiche.

Ne rajoutez pas à ce qu'il doit déjà lire pour suivre en classe, pour faire les devoirs etc... c'est déjà énorme.

RépondreQuote
Posté : 17/10/2008 12:21
ctw6
 ctw6
(@ctw6)
Membre actif

je suis d'accord avec Claude, ne pas hésiter à lire voire à écrire ....

Je lis encore pour ma douze ans , le livre plaisir , je mets le ton, je change de voix à chaque personnage, c'est ça aussi la lecture , se faire lire quelque chose !

RépondreQuote
Posté : 21/10/2008 4:21
Dref
 Dref
(@Dref)
Membre éminent

Et moi je continue à lui faire la lecture des textes qu'il doit étudier, pas tous, pas toujours, mais les soirs où il n'en peut plus ! Et vive les livres lus !!!!

Fred

RépondreQuote
Posté : 22/10/2008 12:19
Fey
 Fey
(@Fey)
Nouveau membre

Bonjour,

Je tiens à m'exuser de poster ici alors que votre sujet remonte à plus d'un mois mais devant votre détresse je n'ais pû m'empecher de penser à 2 document que j'ais lu il ya peu.

Ils sont adressés aux enseignants et ce fût un réèl plaisir de les lires de part leur simplicité.

Je vais remettre ces documents à l'institutrice de mon fils demain lors de la rentrée en espérant qu'elle comprenne mieux le cas de celui-çi.

Peut-être pourriez-vous en faire autant ?

Je vous indique ici les liens :

http://www.maitrise-de-la-langue.ac-aix-marseille.fr/mlangue/IMG/pdf/F_Lahalle.pdf

Je n'arrive malheureusement pas à copier le second lien. Il est très interessant car il explique le façon de s'y prendre avec un enfant dyslexique (un passage dit également que l'enfant doit être placé face au tableau à côté d'un enfant calme ou même seul, chose que l'instituteur de votre enfant ne fait apparemment pas).

Si vous souhaiter ce document, je peux vous le copier sur mail. Faite le moi simplement savoir. Voiçi mon adresse sarah.fey@free.fr

Fey

RépondreQuote
Posté : 04/01/2009 10:30
Page 1 / 2
Share: