c'est un fait mais autant d'années de galères dûes à si peu de connaissances des professionnels même soit disant experts, mais des avis, des erreurs, des maltraitances..........

Vivre avec la misère intellectuelle..............l'obscurité !!

et après la masse des pauvres gens !!!

quand on a autant de c... on peut déclencher le plan orsec !!

retour à la bonne moralité !!

Frence secte frence à sec !!

Message édité par : Claude / 24-02-2007 01:51

Bonjour Claude

Merci déjà d'avoir répondu à mon message !!! je reste tout de meme perplexe sur cette missive.... juste pour vous dire que le monde ne sera jamais parfait, oui qu'il y aura toujours des c... mais notre comportement personnel et notre intelligence peux améliorer des situations parfois difficiles voir catastrophiques. Je ne suis pas fermée sur cette société qui ne nous donne pas tout à fait satisfaction quant aux problèmes évoqués sur la formation des enseignants au sein de l'éducation nationale ; simplement une volonté d'enseigner pour certains et c'est une grande force qu'il faut soutenir!!! prochainement, notre fils doit rentrer au collège : parcours pourvu d'embuches bien sur!!! mais là encore, des ouvertures possibles avec quelques éléments qui se donnent à fond pour essayer de combler ce déficit scolaire. Dans notre région (Loire-Atlantique) aucune structures pour nos enfants qui c'est vrai ont déjà pas mal galérer en cycle primaire. Simplement un collège privé qui a ouvert il y a quelques années une classe allégée (16 élèves dys) avec un programme spécifique : polycops, horaires moins lourds, enseignant qui fonctionne avec le rétroprojecteur, bien sur on ne supprime pas l'écrit.....et toujours lors des évaluations un tiers temps et une façon de présenter le devoir d'une façon différente pour aider l'enfant à comprendre la consigne.

Dans tous les cas de figures uniquement 16 enfants auront "le privilège" de connaitre cet enseignement qui les busteront, leur feront reprendre confiance et auront la possibilité de suivre une orientation d'après des résultats qui oui, restent faibles à la sortie de 3ème : un tiers de réussite ........ l'autre solution : intégration dans le collège "normal", là, il faut déjà trouver une équipe pédagogique qui ira dans votre sens lors de la présentation de votre dossier (en béton), pourquoi pas ? j'ai trouvé lors de diverses portes ouvertes de collège, des possibilités non négligables pour que notre fils se sente intégré au sein d'un groupe ........Bien sur, je voudrais plus!!!!!!!! bien sur je suis inquiète!!!! mais actuellement, pas trop le choix, juste de se battre ........ en attendant, j'espère pour les petits dys qui arrivent ; qu'ils trouveront enfin des "humains" capables de les faire évoluer!!!!!!! :=!

Chère anonyme qui témoigne,

Ce n'est pas moi qui ait écrit le message de réponse à votre sujet, j'ai juste modéré ce post, c'est pourquoi vous voyez écrit "message édité par Claude". J'ai enlevé une partie de phrase qui insultait des catégories professionelles en les nommant et je pense que cette généralisation aurait heurté les personnes bien intentionnées qui existent tout de même dans ces professions.

Je n'ai pas compris entièrement le but de ce message non plus, mais la colère exprimée est ressentie.

Votre témoignage rejoint celui de nombreux parents qui choisissent pour leur enfant une classe spéciale. C'est parfois la seule solution pour que l'enfant souffre le moins possible pendant quelques années, mais ils se plaignent aussi du manque d'ambition de ces classes qui réduisent le niveau des apprentissages, comme si les enfants dyslexiques étaient incapables d'atteindre le niveau des autres.

Aller plus lentement ne devrait pas vouloir dire apprendre des choses moins élevées en niveau. Mais l'EN ne sait pas faire autrement pourle moment, alors il faut se contenter de ce qu'ils savent faire et c'est frustrant.

ma fille de 7ans est dyslexie ;je ne sais pas comment faire pour l aider.pour l encadrer par des professionnels. aider moi s il vous plait; je suis désorientée;

Bosoir,

La seule chose à faire, c'est de croire en votre enfant et non de croire à ce qu'en disent les autres.

Puis, tenter de lui faire comprendre que l'école n'est pas toute sa vie et essayer de valoriser une activité dans la quelle il réussit...

Le reste découle de source...

Mu

Bonjour je réponds à la maman de l'enfant de sept ans qui ne sait pas comment faire pour aider son enfant. Ma fille a 13 ans et est suivi depuis la fin de son CP. Il faut tout d'abord faire un bilan orthophonique et de là vous pourrez commencer une rééducation, de plus l'orthophoniste vous orintera si votre enfant présente d'aitres troubles (ma fille est dyslexique sévère, dysorthographique, dyscalculique et dyspraxique) elle raconte d'ailleurs à sa façon son parcours dans la rubrique témoignage c'est important pour elle comme pour nous parents de pouvoir parlre de nos difficultés. Elle se bat pour suivre une scolarité "normale"Ce n'est pas tous les jours facile car en plus des rééducations (orthophoniste, ergothérapeute, éducateur, ..) il faut apprendre ses cours faire ses devoirs préparer les contrôles mais de temps en temps avec des professeurs à l'écoute elle arrive à de bons résultats. La semaine dernière elle a eu un 15 en histoire (la meilleure note de la classe) ! Elle l'apprécie certainement davnatage qu'un enfant qui n'a pas de difficultés. Elle sait le temps et l'énergie dépensé pour ce résultat. Alors courage pour votre enfant prenez conseils et visitez ce site il y a plein d'aide et des textes de lois pour la scolarité de votre enfant

Nadine

Bonjour,

je suis aussi maman d'un enfant dyslexique âgé de 11 ans, qui passe en sixième. C'est mon "outsider", alors qu'on m'a dit au CE1, redoublement, au CE2, Commission, pour que je me rende compte qu'il ne suivrait jamais comme les autres. Puis, à la veille de passer en sixième, il n'a pas le niveau mais sa volonté est si forte, ses progrès si important. On le fait passer (avec un PAI néanmoins). Mais, quand même "il est très bébé".

Alors, la morale de l'histoire c'est qu'il faut croire en son enfant, des cours d'othophonie, beaucoup d'amour... Et une forte force morale vers le positif......

Bonsoir,

Oui de la volonté, il en faut et surtout tenir compte de son enfant dys ! de ses choix, de ses décisions à travers une équipe enseignante, une orthophoniste et ses parents ... Notre fils actellement en CM2, à 11 ans ; a émis le souhait de faire un maintien dans cette classe, pour pouvoir "souffler" après tant d'années d'efforts, de travail... Il aurait pu passer en 6ème d'après son maitre, mais tout ce qu'il a pu mettre en place cette année a besoin d'etre appronfondi pour "affronter" le collège... pas facile pour un bonhomme de prendre cette voix ! en sachant ce que celà représente pour lui : son estime, sa valeur, son affectif aussi ; voir les copains partir vers la cour des grands, retrouver au sein de la future classe "les anciens" de CM1, en sachant aussi que son travail ne représentera pas plus (il y aura toujours des points rouges....)

Juste ce message pour transmettre aux parents d'enfants dys, que nos petits bouts savent se battrent, mais parfois ils s'essoufflent aussi ! savoir le décripter et respecter leurs décisions, car après tout c'est eux qui suivront leur voie avec tout le soutien que nous pourront leur apporter....

Amicalement. Une maman comblée !

bonsoir,

je suis tout a fait d'accord avec vous!!!!!

merci pour vos témoignages.

bONJOUR,

Des nouvelles de notre garçon qui a fait sa rentrée en CM2 ; maintien demandé de sa part....

Un peu d'angoisse au départ surtout au niveau affectif : plus de copains.... et puis le jour de la rentrée un nouveau ! et hop... on se soutient tous les deux, meme une petite "prise en charge", de la part de notre fils !

Une super maitresse, dynamique, à l'écoute, dès le jour de la rentrée, rendez-vous pris dans la semaine ! pour connaitre notre enfant ; puis avant les vacances de la Toussaint, un contact avec notre orthophoniste !

Voilà, un bon début d'année avant d'entamer à la rentrée prochaine la cour des grands !

Très positif pour le moment, notre enfant est motivé, il souffle ! ce qui lui permet de pouvoir mettre en place plein de petites choses qui vont l'aider à avancer ....Ayant moins de pression, il a plus confiance en lui, celà le valorise et lui permet d'avoir une estime de lui : direction + + !

Voilà, aussi, jean-baptiste a eu la chance d'etre dans un établissement ou enseignants depuis la maternelle, ont été à l'écoute, pour citer simplement que le parcours en primaire des dys peut-etre formidable, sans souffrance... je n'ai jamais entendu dire que notre fils était un fainéant, il n'a jamais été mis à l'écart ; toujours "tirer" vers le haut et c'est un avantage mais aussi une volonté d'enseigner tout simplement...

Allez bon courage à tout le monde : aux dys, aux parents, aux enseignants

BY