Forum
Faurum
Bonjour à tous,
Après discussion avec toutes les personnes qui gèrent mon fils, personne ne le voit en 6° pour le moment, ce serait l'envoyé directement dans le mur (avis de l'instit, la psy scolaire, l'ortho, sa psy). Un redoublement serait bien mieux pour lui.
La SEGPA, ni la psy scolaire, ni l'ortho ne pense que c'est sa place.
Sa psy m'a dit mercredi, qu'elle avait dsicuté avec lui des différentes options, et que quand même il pense déjà à un métier (il a 10 ans faut pas abuser) et que de toute manière il ne fallait pas l'engager dans un cycle long .....
Bonjour Mary,
Comme partout ailleurs, votre fils et tous ses camarades en CM2 devraient recevoir bientôt la visite de l'infirmière scolaire du collège du secteur...
Avez-vous pris contact avec elle pour lui expliquer votre cas? Elle connait tout du collège du secteur, des profs qui y sont et des expériences des enfants précédents...
Il vous reste encore du temps pour bien (vous et votre fils) cerner la bonne décision à prendre... et une fois cette décision prise, défendez-la fermement sans plus hésiter!... Faites vous confiance; votre instinct maternel là!...
Très sincèrement,
Laurent (papa d'un fiston en CM2)
Quand il y a un médecin scolaire, il n'y a pas d'infirmière scolaire et il ne passe pas dans toute les classes de CM2, cela dépend des secteurs.
Cependant, il est judicieux de ce renseigner sur les collège les plus enclin à recevoir un enfant dys sévère.
GENE
Bonjour à tous,
Nouveau rebondissement, la commission pour la présentation du dossier SEGPA a eu lieu courant janvier, verdict : la SEGPA ne convient pas, car mon fils travaille pour l'instant dans un milieu très encadré. A cette commission, il a été conseillé à l'instit de mon fils de nous proposé une ULIS. Dans notre département, il n'y a que des ULIS de niveau 1, c'est à dire qu'avec des enfants qui ont des dificiences mentales légères. J'en ai parlé avec son ortho, elle est choquée, par cette proposition, d'après elle mon fils n'a pas le profil correspondant. Je ne pense pas qu'avec tout le suivi dont il bénéficie (ortho, psy, psy scolaire) on soit passé à côté d'une déficience mentale.
Nous allons prendre rdv chez un nouveau neuro, car le premier avait balayé la possibilité de troubles des apprentissages, à la grande surprise de tous les professionnels qui le suivent.
Merci de votre écoute.
bonjour mary82,
La neuropsy (en libéral) que j'ai vu recemment pour mon fils, suis un élève d'ulis, et elle m'a dit qu'il faisait le meme programme
que sa fille qui est en CE1. Et, mais cela reste à confirmer, d'ailleurs peut etre certaines personnes sur ce forum
pourront le faire, mais les débouchés après une ULIS, c'est un CAT (centre d'aide au travail). Je ne connais pas votre fils, mais le mien de 11 ans,
malgré sa dyslexie, est capable de se faire à manger, d'aller faire 2 courses tout seul,d' etre tres bon en sport, bref il peut etre autonome dans beaucoup de taches hormis scolaires.
bonjour mary82,
La neuropsy (en libéral) que j'ai vu recemment pour mon fils, suis un élève d'ulis, et elle m'a dit qu'il faisait le meme programme
que sa fille qui est en CE1. Et, mais cela reste à confirmer, d'ailleurs peut etre certaines personnes sur ce forum
pourront le faire, mais les débouchés après une ULIS, c'est un CAT (centre d'aide au travail). Je ne connais pas votre fils, mais le mien de 11 ans,
malgré sa dyslexie, est capable de se faire à manger, d'aller faire 2 courses tout seul,d' etre tres bon en sport, bref il peut etre autonome dans beaucoup de taches hormis scolaires.
Bonjour Mary,
C'est bien le probleme suivant les departements,les établissements,etc....ou il serait plus simple pour certain de caser nos enfants dys dans des etablissements spécialisés,alors que dys ne veux pas dire manque d'autonomie,defficient intellectuels,ou je ne sais quoi d'autre
.toutes ces personnes qui manque cruellement d'informations.c'est à nous parents qui vivent avec nos enfants ,qui peut ,il me semble ,faire la différence entre la capacité de faire certaine chose et la comprehension de ce qu'on leur demande.bien des eleves que j'ai pu rencontrer étant dys,lexique,phasique,praxique ,se sont retrouvés dans des institutions qui n'était pas pour eux par manque general d'information,
certains ont pu ce sortir de cette descente au enfer grace a leur grande capacité intellectuel et certainement aux parents refusant une "fatalité" ,d'autre se laisseront couler en espérant trouver un job rapidement.
Ce forum est la preuve que nos enfants s'en sorte dans le classique avec des amenagements,
j'en suis la preuve ,alors que depuis ses debuts de primaire on me parle de redoublement,de segpa,,,,,,je n'ai pas suivi cette voie qu'on voulait lui tracer,car je connais mon fils ,curieux(pose plein de question sur tout, à la seconde)inventif,pertinent,malgres le fait qu'il ait toujours autant de mal à ecrire les mots juste avec une grande lenteur,sa lecture fluide par moment pour nous prouver qu'il peut mais sans comprehension de ce qu'il vient de lire par son manque aussi de ponctuation.le fait qu'il n'est pas compris une consigne car les mots à double sens s'ajoutent à la non comprehension,dans la mesure ou mon fils prend tous au pied de la lettre,et où le sens propre ou figuré doit être expliqué.(ha la langue francaise😄)
Il est en 5 eme classique public,on a en bavé,il y a des hauts et des bas,mais je ne regrette de pas d'avoir insister lourdement pour certain,car il s'épanouit.
Et quand je lis des témoignages sur les dys au lycee puis post bac je me dis que tout est possible pour vue qu'on lui donne la chance de réussir.
Restez confiante,vous connaissez votre enfants,il faut juste que vous sachiez que les amenagements sont possible et qu'il faut se battre pour qu'il les obtiennent.
Bon courage
Message édité par : Lolo78 / 08-02-2015 14:15
je partage entièrement le point du vu de lolo78, (merci d'ailleurs) et je fais parti de ces gens qui par manque d'information, ai accepté une classe clis (l'ulis des écoles primaire), il y a un an, et qui le regrette, car mon fils a passé une année à conjuguer les verbes du 1er groupe au présent, et à faire de la numération niveau CE2, il est d'ailleurs devenu spécialiste de la décomposition des nombres. Bref, sous pretexte de ne pas les mettre en echec, on les maintien à des connaissances qui sont acquises. Je me suis trompée, mais ne peux me resigner à ce que cette seule année puisse mettre tout le futur de mon fils en jeu. Donc oui, je vais demander une 6° classique, en sachant que ce sera lourd pour lui et pour moi. Cela fait à peine une semaine que je suis sur ce forum, et je suis réellement pleine de gratitude pour tous ces temoignages de parents, ou d'anciens éleves dys, qui m'ont fait prendre conscience de beaucoup de choses.
Mary je vous souhaite beaucoup de courage, et je crois qu'il faut avoir confiance en nos enfants, le leur faire savoir, et les soutenir pour aller vers le haut.
Et comme le dit lolo78, se battre constamment pour que les aménagements prévus soient mis en place.
Je vous remercie de vos réponses et encouragements.
C'est vrai que la personne que j'ai rencontré et qui m'a expliqué les fonctionnements des ULIS, m'a bien dit qu'il que son avenir serait au mieux un CAP et dans des conditions très difficiles.
Je vois bien que mon fils n'a pas le niveau CM2 et que les évaluations passées pour le dossier SEGPA ses résultats sont faibles, malgré tout l'évatualité d'une orientation "excluante" ne nous convient pas du tout.
C'est un enfant capable de plein de choses si on lui laisse le temps, très autonome dans le vie de tous les jours.
Alors, évidement, on me dit que ses copains sont très important pour lui, que l'école se résume beaucoup à jouer avec ses amis et moins à l'apprentissage, mais c'est un enfant de 10 ans qui ne comprend pas encore qu'il travaille pour son avenir (je pense qu'ils sont tous comme ça non ?).
Dans tous les cas, son ortho est contre l'orientation ULIS, aujourd'hui je vais voir cela avec sa psy...
Affaire à suivre.
Bonjour à tous,
Après explications auprès de la psy, elle ne voit pas non plus mon fils dans une classe avec des enfants qui ont des déficiences mentales et des problèmes psychiatriques. Cependant, elle ne lui pas fait passer de test, je lui ai donc fait parvenir le compte rendu de la psy scolaire, depuis pas de nouvelles (bonnes nouvelles). Tout le monde s'accorde à dire que mon fils à certainement des troubles des apprentissages avec d'autres fragilités mais qu'il ne resort par de SEGPA ou ULIS. J'attends la rentrée des classes pour une nouvelle réunion de l'équipe éducative.
J'ai l'impression que nous tournons en rond, c'est déprimant......
Bonjour à tous,
Nous avons appris la semaine dernière qu'il existait dans notre département (82), 7 collèges qui participent au programme ALBADYS. Ces collèges adaptent leurs enseignements aux enfants dys.
Je ne comprend pas que personne (les professionnels) ne nous en parlent, l'ortho ne connaissait pas les collèges en question mais va se renseigner.
Du coup, on se demande s'il ne serait pas préférable que notre fils passe en 6° dans un de ces établissement au lieu de redoubler. Rien que de penser au fait que nous n'aurions pas à faire le tour des profs pour expliquer (et réexpliquer) sans cesse le problème et être sur que les aménagements seront suivis, quel gain d'énergie !
Nous avons la réunion de l'équipe édicative lundi 16.03, nous évoquerons le sujet, mais je sais qu'on essayera de nous en dissuader puisque notre fils n'a pas le niveau 6°. On verra bien.....