Forum

Faurum

Notifications
Clear all

Dys et kinésiologie spécilalisée 3  

Page 2 / 11
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Claude, je ne vois pas l'intérêt de faire lire des non-mots pour éviter de faire appel au lexique visuel si c'était pour relire les mêmes mots à la fin. A chaque lecture les non-mots sont différents,évidemment.

« Ensuite, c'est bien tout ça, mais ça ne traite pas de la dyslexie, juste d'un problème de rapidité de lecture qui n'est qu'une toute petite partie du problème de rapidité de lecture des dyslexiques ». A mon avis, ça indique que le corps calleux est une barrière et non un pont. J'ai trouvé une personne ne lisant pas les non-mots de l'oeil gauche au début de la séance. A la fin cela était possible.

Pour moi, il n'y a pas que les dyslexiques qui ont des problèmes. Ceux-ci se retrouvent à des degrés divers chez beaucoup de personnes. Où est la frontière ?

Joray

J'ai vu dans votre Forum une rubrique

RépondreQuote
Topic starter Posté : 16/04/2009 9:52
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Bonjour,

Citation Joray : "Pour moi, il n'y a pas que les dyslexiques qui ont des problèmes. Ceux-ci se retrouvent à des degrés divers chez beaucoup de personnes. Où est la frontière ? "



La frontière ne se retrouve t-elle pas dans le fait que ces problèmes sont durables chez les dys ?

Amicalement.

RépondreQuote
Posté : 16/04/2009 1:46
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Lac, les problèmes ne se résolvent pas avec l'âge adulte. Il suffit de savoir le nombre important d'adultes à la recherche d'un mieux-être. Ces problèmes de non intégration des diverses fonctions cérébrales ou des réflexes perdurent et créent du mal être, et de nombreux problèmes que je ne vais pas énumérer.

Joray

J'ai vu dans votre Forum une rubrique

RépondreQuote
Topic starter Posté : 21/04/2009 9:49
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Citation Joray :

"les problèmes ne se résolvent pas avec l'âge adulte."

Tout à fait d'accord avec vous Joray. En tout cas en ce qui concerne les "vrais" dys.

Beaucoup de personnes ont des problèmes, cela va sans dire. Certains pourront les résoudre parce qu'en effet ceux-ci auront une origine psy ou autre qui fera qu'on saura y remédier.

Pour les dys (qui est le cas qui nous intéresse sur ce forum), au jour d'aujourd'hui, des compensations sont mises en place, des rééducations pour justement parvenir à mettre en place ces compensations. Mais ces problèmes persistent avec le temps même si chez certains, ils seront largement moins visibles parce que compensés.

Il suffit de lire les nombreux adultes qui viennent nous apporter leur expérience sur ce forum : en cas de fatigue, de stress... essayer de chasser leurs dys : elles reviennent au galop !

Amicalement.

RépondreQuote
Posté : 21/04/2009 10:43
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Ben mon cher Joray si tu savais combien j'ai vu de psy de tout genre ... Je crois que je connais ma vie par coeur.... et bien cela m'a pas fait avancer d'un iota en orthographe ou en français... Je voudrais bien savoir comment tu peux travailler sur des aires spécifiques du cerveau... Cela m'intéresserait....

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 22/04/2009 7:51
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

enfin je me suis mal exprimée, on peut jouer sur les aires du cerveau, mais pas aussi rapidement....Il faut un long travail pour obliger le cerveau à mettre en place de nouvelles voies pour surmonter les difficultés mais c'est un travail en longueur.

Je peux te prendre un autre exemple que je connais pas trop mal également. Un polio voit une partie de ses muscles esquintés. Pour obliger les autres muscles à prendre le relai et à travailler à 99 %, il faut des années de rééducation. C'est d'ailleurs une des raisons du syndrome post-polio. Les muscles ainsi sollicités sont épuisés bien avant les nôtres.

Alors ras le bol des faiseurs de miracle de toute sorte. Si ces méthodes sont aussi efficace, il suffit de les tester scientifiquement et non prendre un cas.

Je suis si peu fermée que je crois que l'acupuncture fait par de véritable médecin chinois qui ont fait 6 ans d'étude sur les différents points doit continuer d'être étudié par la médecine occidentale. Ce n'est pas une croyance, mais une expérimentation que j'ai faite sur une névralgie faciale avec différents accupuncteurs.

L'émotionnel a sans doute un impact sur l'aggravation de la dyslexie, mais il n'en n'est pas la cause sauf dans le cas où elle est due à une cause émotionnelle et ce n'est pas le cas pour toutes les dyslexies. D'où l'intérêt de poser d'abord un bon diagnostic sur les causes de la dys...

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 24/04/2009 12:34
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Lac : « La frontière ne se retrouve t-elle pas dans le fait que ces problèmes sont durables chez les dys » ? Les problèmes sont durables chez tout le monde autant chez les dys que chez les non-dys. Je ne prendrai qu'un exemple : si un enfant a un gros problème de mémoire, il perdurera à l'âge adulte et jusqu'à la mort si rien n'est fait.

Anealiboron : « Je voudrais bien savoir comment tu peux travailler sur des aires spécifiques du cerveau... Cela m'intéresserait.... ». J'ai appris. Je vais prochainement un collègue qui travaille différemment. On a beaucoup de bases communes. Si je veux faire ce qu'il fait je devrai faire les formations. Je n'ai jamais vu mes clients orthophonistes ou kiné essayer d'imiter ce que je fais, c'est une autre approche et il faut apprendre.

« Il faut un long travail pour obliger le cerveau à mettre en place de nouvelles voies pour surmonter les difficultés mais c'est un travail en longueur ». Ca dépend pourquoi, on peut l'aider à accélérer, mais moi je ne parle que des problèmes liés au stress ici. Et ça va presque toujours très vite. Pour mieux comprendre lire le livre du Dr Charles KREBS, biologiste et chercheur venu à la kinésiologie à la suite d'un accident de plongée : « La Kinésiologie selon le Dr Charles Krebs", Édition Marci Pietteur.

« Alors ras le bol des faiseurs de miracle de toute sorte. Si ces méthodes sont aussi efficace, il suffit de les tester scientifiquement et non prendre un cas ». Moi, je ne parle pas de miracles. Je raisonnerais sans doute de cette manière si je n'avais pas eu la grande joie de constater qu'il y a d'autres manières d'aborder les choses. Je suis en Master et je fais un travail scientifique. Je l'ai déjà expliqué, je n'y reviens pas. Quant à l'orthographe, je n'en ai pas parlé. Même si tout refonctionne dans le cerveau il faut revoir toutes ls règles et c'et un travail énorme.

Joray

J'ai vu dans votre Forum une rubrique

RépondreQuote
Topic starter Posté : 25/04/2009 10:08
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

Citation Joray :

Posté : 25-04-2009 08:08

Lac : « La frontière ne se retrouve t-elle pas dans le fait que ces problèmes sont durables chez les dys » ? Les problèmes sont durables chez tout le monde autant chez les dys que chez les non-dys. Je ne prendrai qu'un exemple : si un enfant a un gros problème de mémoire, il perdurera à l'âge adulte et jusqu'à la mort si rien n'est fait.

Non, Joray, ce que je veux dire c'est que dans le cas des "vrais" dys, même en mettant en place les diverses méthodes connues pour rééduquer ou aider les dys, les troubles perdureront. Même si "on fait", l'enfant puis l'adulte compense, mais la dys reste.

Lorsque vous citez vos exemples d'enfants ayant des difficultés de lecture ou autres, vous obtenez chez ces derniers un progrès notables très rapidement.

Ce n'est pas le cas pour un dys et c'est bien là toute la différence. C'est un trouble durable.

Lorsque vous dites : "Quant à l'orthographe, je n'en ai pas parlé. Même si tout refonctionne dans le cerveau il faut revoir toutes ls règles et c'et un travail énorme.". L'orthographe n'a jamais été d'aucune difficulté pour moi (je n'ai même pas eu conscience d'apprendre des règles, comme si cela était un apprentissage naturel). Par contre j'ai toujours eu de grosses difficultés pour la représentation des nombres, des ordres de grandeur, et ce, encore aujourd'hui.

Je compte encore avec les doigts !!!

Aurai-je une mauvaise utilisation du cerveau ??? ou est-ce encore autre chose ??? Juste ma façon de fonctionner ?

Comment savoir ?

Amicalement.

RépondreQuote
Posté : 25/04/2009 10:26
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Je connais toute mes règles de grammaire par coeur... C'est même cela qui m'a toujours sauvé. 0 en dictée + 10 en question =10 Dictée-Questions. Je peux même démonter une phrase logiquement...Mais ne me demande pas d'écrire sans faute. J'en suis incapable....

Je ne manque ni d'idées ni d'analyse. Mais pour que j'écrive un français correct il faut que je relise mes dissertes à haute voix. Cinq six fois jusqu'à ce que mon texte coule comme de l'eau à mon oreille et encore je ne suis pas certaine qu'il ne demeurera pas des fautes d'accord. Cela va pour trois pages même six pages, mais 500 pages impossible. J'ai tué quatre correcteurs humains.. Seul Antidote a réussi à me corriger en partie.. J'espère que Dragon speaking voice m'aidera...

On peut compenser en partie un dysfonctionnement du cerveau en prenant des chemins de traverse par les neurones, grace à de longues années d'exercice, tu ne remettra jamais en fonctionnement une aire du cerveau qui est mal connecté... quoique tu fasses, c'est ainsi.

Que tu réussisses à aider des enfants dont la dyslexie a une autre cause que ce dysfonctionnement neuronale c'est déjà génial. Mais je crois qu'il faut arrêter de tout mélanger.

Sur ce, avec les moyens modernes, on peut parvenir à trouver les moyens d'aider les dys neuronales à s'en sortir. D'autre part on peut parvenir dans une certaine mesure avec des méthodes qui restent à mettre au point à donner au cerveau les moyens d'utiliser d'autres aires du cerveau pour compenser en partie l'aire non fonctionnelle..

Mais aucune méthode miracle n'existe pour l'instant....

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 26/04/2009 11:04
curidys
(@curidys)
Membre de bonne réputation

Tout à fait d'accord avec toi, anealiboron, il ne s'agit pas de 'refaire marcher' les aires du cerveau dysfonctionnelles . Là, ça serait miraculeux, mais trouver d'autres chemins ce n'est pas si miraculeux que ça! Il faudrait d'abord admettre qu'il n'y a pas de voie unique, de système de fonctionnement et d'apprentissage universel! Reconnaître ce que l'on sait depuis longtemps: qu'il y a différentes méthodes d'apprentissage et appliquer ces connaissances à l'enseignement. Mais là... on attend toujours... Amicalement, Curidys 🙂 🙂 🙂

RépondreQuote
Posté : 26/04/2009 7:17
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Lac : « Aurai-je une mauvaise utilisation du cerveau ??? ou est-ce encore autre chose ??? Juste ma façon de fonctionner ? Certainement une mauvaise utilisation du cerveau. Tout est là, mais ça ne fonctionne pas. Heureusement c'est presque toujours le stress qui est à l'origine de ces dysfonctionnements et non pas des lésions. Donc réparable. C'est mon point de vue, mon expérience.

Anealiboron : « tu ne remettra jamais en fonctionnement une aire du cerveau qui est mal connecté ».Affirmation gratuite, totalement gratuite. J'ai regardé la vidéo de B. Sauvageot. Elle travaille sur plein de zones cérébrales. Tiens, tiens. C'est donc possible. Sauf que je pense, j'ai bien le droit de le penser, que ma méthode est plus rapide, beaucoup plus rapide.

« Ma méthode », non celles que j'ai apprises auprès de diverses personnes dont le Dr Charles Krebs. Ça fait 5 ans que je ne l'ai pas vu. Ça ne doit pas être si mal car je crois savoir que la kinésiologie est en train d'être homologuée comme discipline universitaire en Australie. « Une fois que le stress dépasse un certain seuil, plusieurs fonctions peuvent être compromises, ou perdre leur intégration » (Charles Krebs, page 284 dans son livre sur la kinésiologie). Et pourquoi, diable, ne serit-ce pas possible de les récupérer avec des méthodes appropriées.

Mais tout le monde a expérimenté cela. Perte de mémoire durant l'examen. A la sortie de la salle d'examen, la mémoire revient !!!! Impossibilité de s'exprimer en public, pas devant ses proches. On dit que nous perdons nos moyens. Ben oui. Certaines fonctions sont « out ».

Ici je suis attentif à ce qui se dit sur ce forum, mais encore plus aux non-dits. Très instructif. Si vous n'avez pas peur de vous remettre en question lisez le livre du Dr KREBS.

Curidys : « il ne s'agit pas de 'refaire marcher' les aires du cerveau dysfonctionnelles . Là, ça serait miraculeux ». Tout est miraculeux pour celui qui ne connaît pas.

J'ai vu dans votre Forum une rubrique

RépondreQuote
Topic starter Posté : 27/04/2009 9:52
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Heureux ceux qui ont la foi... Tant que cela n'entraîne pas les autres dans des catastrophes....

C'est vrai que l'on sait aujourd'hui que les neurones peuvent aussi repousser, mais pas de la même manière que les autres cellules...

On sait également qu'il existe des moyens de compenser... Mais pour l'heure sauf preuve du contraire et validé sur nombre de cas, je n'irais pas en faire la panacée universelle... Si tu as réussi à aider quelques enfants c'est à vérifier et à suivre....

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 27/04/2009 1:17
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Anealiboron : « Heureux ceux qui ont la foi ». C'est quoi, ça ? Je ne parle pas de croyances, de vérités révélées, je parle de faits, de résultats. Que de mauvaise foi !!!

« Tant que cela n'entraîne pas les autres dans des catastrophes.... » Il faudrait savoir de quoi on parle quand on dit une telle phrase. Quand je vais à une conférence sur le développement personnel je ne peux absolument rien dire de tel. Je suis comme tout le monde et je me demande bien comment ils font. Grâce à mon expérience personnelle je pense que leur approche peut-être excellente.

Quand on n'a aucune expérience dans ce domaine, on ne peut pas en parler. Lire des livres, c'est bien mais pas suffisant.

Je ne parle pas de compensation. Je prendrai des « béquilles » le jour où j'aurai épuisé toutes les solutions possibles pour m'en passer. Donc je cherche comment fonctionner sans béquilles, naturellement. Je donne pourtant un exemple simple où le système peut être fonctionnel dans une situation et pas dans une autre. Le problème n'est donc pas structurel, mais fonctionnel. Rappel : s'exprimer normalement en famille et pas en public.

Les méthodes dont je parle sont enseignées dans le monde entier. Parfois dans les universités, par exemple en post-universitaire à Barcelone. A une époque, dans les années 90-95, ça a été enseigné en formation permanente des adultes à Lille III. Au Danemark, la kinésiologie est approuvée par le Ministère de l'Éducation Nationale dans les écoles pour aider les enfants dyslexiques.

Je mettrai sur mon site dans les jours qui viennent l'écriture d'un enfant qui, il y a peu, refusait d'écrire. C'est beaucoup mieux après 4 séances. J'espère qu'il reviendra me voir.

Joray

J'ai vu dans votre Forum une rubrique

RépondreQuote
Topic starter Posté : 30/04/2009 9:48
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Définition de la kinésiologie source Wikipédia

En France, la kinésiologie désigne une technique de mieux-être qui a le même rôle qu'une thérapie, avec un accompagnement de la personne, et qui permettrait, selon ses utilisateurs, de dissoudre les blocages émotionnels, mentaux... grâce à un dialogue corporel à la recherche des solutions les plus adaptées.

Le principe est que le corps conserve toutes les informations de son histoire et que la personne elle-même peut choisir de changer pour retrouver un équilibre.

Le problème fondamental du principe peut-être formulé sous la forme d’une question :

La source de toute maladie et en l’occurrence de la dyslexie se trouve-t-elle uniquement dans l’histoire de la personne ?

Pour la psychanalyse c’était uniquement les maladies mentales qui trouvaient leur source dans l’histoire de la personne. La kinésiologie estime que c’est toute maladie. On élargit le propos. J’ai même trouvé un exemple de penser où se sont les petites histoires des arrières grands-parents qui sont les sources de la maladie… et puis quoi encore !!! Dans tous les cas, les découvertes de la biologie actuelle démontrent, que certes l’émotionnel peut avoir un impact sur le déclenchement d’une maladie, mais que la maladie bien d’autres facteurs déclenchants. L’individu n’est pas responsable consciemment ou inconsciemment de tous les troubles qui lui arrivent. C’est une escroquerie intellectuelle.

En ce qui concerne seulement les pathologies mentales, je crois qu’avec le recul il est possible d’estimer que la psychanalyse n’a jamais réussi à vaincre ni l’autisme ni la schizophrénie et c’est une tromperie de penser qu’elle parviendra à vaincre ce que les chercheurs contemporains appellent dyslexie-dysorthographie.

Si la psychanalyse a pu aider quelques dyslexiques, c’est que le trouble n’avait pas pour cause un dysfonctionnement neuronal, mais une perturbation psychologique légère.

Ainsi, c’est une erreur de logique, d’estimer que la psychanalyse, ou pour élargir la kinésiologie, peut guérir un trouble dont la cause n’est pas émotionnelle, mais liée à une fabrication différente de celle du modèle que l’on a estimé être le standard de l’homme.

Je ne te reproche pas ta foi. Dans les années 1970, confrontée comme toi à quelques cas de dys dans la famille, dont le mien. Que cela te plaise ou non, c’est ainsi et je connais la dys encore plus intimement que toi. Fille de dys, dys, et mère de dys. Et je n’ai appris celle de mon père comme celle de mon arrière grand-père que très tardivement.. Alors, ne cherche pas d’autres raisonnements alambiqués

En 1970, J’ai fait le pari inverse : une certaine partie des dyslexies semblaient suivre les lois de l’hérédité et ne pouvaient s’expliquer par l’émotionnel. La seule solution qu’il me restait c’était une différence de formation du cerveau. Sur ce, je ne me sentais nullement diminuée, objectivement pas plus débile que les autres. Ma liberté n’était en rien atteinte, puisque connaissant la source, il me restait le moyen de mettre en place des compensations.

suite.....

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 01/05/2009 6:05
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Je parle de foi pour moi comme pour toi, car je n’avais aucune preuve que mon hypothèse était la bonne. Elle était uniquement basée sur une analyse logique. J’étais alors une hérétique à l’époque. J’allais à l’encontre du dogme officiel.

Comme il était hors de question que j’entraine qui que ce soit dans les catastrophes induites par mon hypothèse, j’ai joué la prudence. J’ai travaillé également sur ma vie. Mais, la compréhension de celle-ci même si elle m’a aidée sur d’autres points ne m’a jamais aidée sur le plan de l’orthographe…. Ce sont les méthodes qui ont été utilisées pour moi et mon travail qui m’ont permis de m’en sortir, et surtout la chance en fac d’avoir peu d’écrits et beaucoup d’oraux. Tout le monde était alors logé à la même enseigne.

Le résultat a été identique pour mon fils, la psychologie ne l’a pas aidé d’un iota. En fait, le problème, et je ne l’ai compris qu’avec la seule bonne orthophoniste qu’il a eue, la dernière, était que je n’avais pas voulu lui infliger le pensum du bled. Les méthodes contemporaines que j’avais suivies en matière d’ortho étaient nulles.

Je parle de foi pour toi, car les cas que nous présente pourraient n’être que des dyslexies liés à des troubles qu’un peu d’écoute suffit à écarter. Je te rappelle que pour parler de dyslexie dysorthographie il faut tout d’abord écarter tous les troubles qui pourraient être raccrochés à :

• Un déficit auditif (hypoacousie : le langage oral est perturbé dans son ensemble avec confusion de phonèmes et non pas seulement à la lecture) ;

• Un trouble de la vue (amblyopie) ;

• Un trouble de l'élocution ;

• Un déficit intellectuel (pour les dyslexiques les résultats scolaires sont bons dans les autres domaines) ;

• Un désintérêt global d'origine affective ;

• Le bilinguisme...

Tu ne l’as pas fait si je te suis bien !!!!!

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 01/05/2009 6:06
Page 2 / 11
Share: