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Dys et kinésiologie spécialisée 2  

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Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Lac, c'est naturel d'aller où l'on pense que ce sera le plus profitable. Encore faut-il être informé ? Voyez le temps qu'il a fallu pour que l'ostéopathie soir reconnue en FRANCE. Et dans quelles conditions ? Pour moi, la méthode que je pratique, est prioritaire car elle permet d'utiliser tout son cerveau. Quelqu'un bloqué dans son hémisphère droit n'aura pas accès à son hémisphère gauche, siège de l'abstraction avec toutes les conséquences : difficulté à apprendre les tables, difficulté de compréhension, etc...

Pratiquant une méthode non reconnue officiellement, je dois obtenir des résultats rapides. Si un enfant vient pour la lecture, je le fais lire dès en arrivant et de nouveau à la fin de la séance pour voir les progrès. Pour d'autres ce sera l'écriture. Pour d'autres ce sera monter les escaliers. Je chercherai une préactivité en relation avec le problème avec le concours de la maman. Qu'est-ce qui lui pose problème ? Il est trop petit pour écrire, ce sera un dessin.

Quand j'ai des informations à donner je les donne et je demande à la maman de les retraduire pour son enfant. C'est elle qui saura mieux le faire. Mais il n'est pas toujours nécessaire de parler. Dans certains styles de séances on ne parle pas du tout.

Pour les deux dernières séances que moi-même j'ai reçues, je n'ai parlé que pour dire mon objectif. C'est tout. Après silence complet pendant ¾ d'heure. Si un enfant vient pour un problème de comportement je peux très bien travailler de cette manière ! Nous avons de très, très nombreuses approches que nous utilisons en fonction de chaque cas.

La kinésiologie est reconnue dans certains pays. J'ai déjà donné des informations sur ce sujet. Je travaille toujours en présence de la maman. Je demande à l'enfant s'il est d'accord pour revenir. Il a constaté lui-même les changements. C'est bien plus fort que l'avis d'une tierce personne. Il sait que quelques chose a changé non pas parce qu'on le lui a dit mais parce qu'il l'a ressenti dans son corps.

Le seul problème, à mon avis, c'est de trouver quelqu'un qui a les formations suffisantes et qui s'intéresse à ces problèmes. On n'est pas spécialiste en tout.

Joray

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Topic starter Posté : 25/03/2008 8:57
qriztoz
(@qriztoz)
Membre de confiance

bonjour,

J'ai terminé un livre intéréssant, qui m'a appris sans doute l'origine de mon troubles et d'après mon observation de mon passé je crois qu'effectivement c'est le point sur lequel je dois bosser. C'est au niveau phonologique et graphème que le lien n'est pas fait. Donc est ce que dans la kinesiologie il y a une approche qui traite cette partie de trouble.

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Posté : 25/03/2008 11:16
AnneNhauneem
(@AnneNhauneem)
Membre de bonne réputation

" C'est au niveau phonologique et graphème que le lien n'est pas fait. "

c'est vrai qu'on pourrait expliquer la dyslexie aux dyslexiques,

dans le fond,

pourquoi on leur dirait pas?

bon, à quel age?

cela doit se comprendre assez tot ce truc, non?

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Posté : 25/03/2008 3:01
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

EveCaro, sans doute est-ce le message du 21/03/2008 à 13h13 ? On parle très peu lors de la première séance avec les enfants. Les informations importantes on les trouve par test. Et c'est à la maman que je demande en quoi cette information est importante pour elle.

Puis parfois je demande à la maman de retraduire les informations en fonction du contexte vécu par l'enfant. Et puis c'est toujours gratifiant pour l'enfant de voir les changements en fin de séance.

Joray

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Topic starter Posté : 25/03/2008 8:57
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

C'est au niveau phonologique et graphème que le lien n'est pas fait. Oui, bien sûr girztoz, on peut travailler sur ce sujet un kinésiologie. Je vous laisse voir cela avec votre kinésiologue.

Joray

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Topic starter Posté : 29/03/2008 9:00
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

La semaine dernière une maman me téléphonait pour changer le rendez-vous de son fils en CE1. Depuis la moyenne section il va chez l'orthophoniste qui soupçonne la dyslexie. En effet sa lecture est lente, il inverse un peu, il fatigue vite. Il est aussi très bon dessinateur.

Je demande alors à la maman comment il va. Elle me répond que maintenant il dit qu'il préfère lire que dessiner ! Le dessin était donc une compensation ! Je pense qu'il faudra que la maman lui propose des cours de dessin pour qu'il continue à cultiver sa créativité.

A mon avis si son talent se développe, il continuera à apprécier le dessin. il est étonnant qu'après deux séances de kinésiologie il semble privilégier la lecture à ce qui était son dada auparavant.

Mais là où je veux en venir c'est au modèle de Baddeley dont on parle en ce moment sur ce Forum. C'est un modèle. Point final. Un autre viendra le supplanter un jour ou l'autre. Tout ce fonctionnement du cerveau est extrêmement complexe. Il est naturel que les chercheurs cherchent à comprendre.

Je cite un cours en neurosciences que j'ai suivi le 27/03/2008 : « L'individu bien qu'il voit ne peut pas envoyer ces infos vers les aires du langage. »Explications : lésion du dernier tiers du corps calleux ou/et lésion du cortex visuel gauche ou lésion du gyrus angulaire, etc... Moi, je pense que ces explications sont valables dans certains cas. Mais tous ceux qui ont des difficultés n'ont pas de lésions. Ouf !

Libre à chacun de croire ce qu'il veut. Moi, je penche pour le stress qui affecte ces différentes aires. Ce garçon ci-dessus, à mon avis, il n'avait pas de lésions ! Du stress ? Oui.

C'est l'hémisphère gauche qui est responsable de la compréhension, qui donne du sens. Un cerveau droit peut à la limite bien lire et ne rien comprendre si le corps calleux n'est pas ouvert. Problèmes physiologiques au niveau du corps calleux. Peut-être, mais dans quelle proportion ? Il ne faut pas laisser croire aux gens qu'il n'y a que des problèmes médicaux. Beaucoup d'exemples sur ce site vont dans ce sens. Des enfants obtiennent de bons résultats quand les professeurs deviennent compréhensifs. Que sont donc devenues toutes les lésions ?

Joray

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Topic starter Posté : 02/04/2008 9:50
cricri
(@cricri)
Membre éminent

bonjour,

vous semblez dire que nous faisons d'un souci d'apprentissage un souci physio ou oraganique ou technique alors que la reponse est parfois bien plus simple.

Peut etre en effet que la reponse peut etre simple, mais les années de suivi en soins psys n'ont jamais rien deverrouillé. Par contre les reeducs, les adapatations scolaires, elles deverrouillent et creent l'unite dans un groupe classe.

Ensuite, pour l'avoir vecu, une lesion averée visible sur scaner, n'empechera pas un pedopsy de venir fouiller et jouer à l'inquisiteur et vous malmener juste pour savoir si tout est cassé ou si chance de lever un blocage quelconque. Qd ce dernier est assuré que c'est bien cassé, et qu'il vous a bien demolli, il ne vous propose rien pour remedier alors que des orthos sont formées à l'audio-mutité..

Là où la kinsesio est interessante, c'est qu'elle peut intervenir sur plein de versants sans nuire au sujet. Elle peut intervenir sur l'emotion/l'anxieté/l'angoisse et aider à imprimer une image de soi plus favorable, plus vraie, elle peut intervenir sur l'assymetrie par les exos moteurs, elle peut suggerer bcp de nuances positives sans que ces dernieres soient pures illusions.. elle peut expliquer les raideurs, les crispations au niveau du corps...reflex instinct ou psychosomatique...peu importe pourvu que l'explication soit coherente.

Dernierement j'ai passé une avoinée à mon deuxieme, et je lui ai demandé de se redresser et de me regarder plutot que de faire le dos rond et d'attendre que l'orage soit passé comme à son habitude. De m'affronter ne le ferait pas mourir, bien au contraire..

Depuis, il commence à perdre son surpoids, à degonfler, et à etre plus present. Fuir, c'est lourd, ça pese trop, alors qu'affronter, on peine sur le moment mais apres on degage de la force, de l'assurance.(.à condition de ne pas cultiver les blessures et se saisir de l'elan).

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Posté : 02/04/2008 11:33
Claude
(@Claude)
Membre noble

Attention Joray : le cerveau d'un dyslexique n'est pas un cerveau lésé ! c'est dans la définition même de la dyslexie. Pas de lésion !!!

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Posté : 02/04/2008 11:33
LAC
 LAC
(@LAC)
Membre célèbre

CITATION DE JORAY : " Moi, je penche pour le stress qui affecte ces différentes aires. Ce garçon ci-dessus, à mon avis, il n'avait pas de lésions ! Du stress ? Oui. "

Bonjour Joray, que le stress ait un rôle sur les problèmes des dys, je le nie pas. Il d'ailleurs un rôle sur le fonctionnement physique et psychique de tout le monde (à des degrés divers selon la personne) selon moi.

Maintenant prend un enfant dys avant l'âge de 4 ou 5 ans. Même si celui-ci ne vit pas dans environnement stressant, les troubles sont déjà là. Pour mon fils, refus de colorier et dessiner à la maison, en fait refus catégorique de tenir un crayon. Son frére et sa soeur, pas beaucoup plus âgés, passent leur temps à desssiner, colorier. Lui non.

Il m'expliquera plus tard, que sur la feuille ça ne ressemble pas à ce qu'il voulait faire dans sa tête.

Trouble de dysgraphie, quelques troubles de dyspraxie découverts par la suite.

Pas d'accord avec toi. Tout cela n'a pas été généré pas le stress.

Mais cela a généré du stress.

Amicalement.

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Posté : 02/04/2008 1:28
Claude
(@Claude)
Membre noble

Aussi d'accord avec LAC : La dyslexie n'a pas d'origine psychologique (stress y compris), c'est aussi dans la définition.

Mais ça en génère.

Si un enfant avec des symptômes de dyslexie est guéri après enlèvement du stress, alors sa dyslexie n'était pas une dyslexie spécifique. Les neurologues font la part des choses dans leur bilan. Alors cet enfant n'était pas bilanté par un neurologue.

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Posté : 03/04/2008 12:12
cricri
(@cricri)
Membre éminent
Citation : Claude

Aussi d'accord avec LAC : La dyslexie n'a pas d'origine psychologique (stress y compris), c'est aussi dans la définition.

Mais ça en génère.

Si un enfant avec des symptômes de dyslexie est guéri après enlèvement du stress, alors sa dyslexie n'était pas une dyslexie spécifique. Les neurologues font la part des choses dans leur bilan. Alors cet enfant n'était pas bilanté par un neurologue.

C'est pour cela que je ne crois pas à la these adulte qui veut que les soucis residuels soient de l'ordre du psychologique, pour la simple et bonne raison que la medecine tradi n'a rien à proposer de structurant pour continuer en progression. Et est ce que cela releve tjrs de la medecine? ou est ce qu'à un moment donné ça ne releve pas plutot de technique d'apprentissage? comme gerer la communication, l'organisation...un audit...tout s'apprend sauf qu'il faut banquer.

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Posté : 03/04/2008 12:40
AnneNhauneem
(@AnneNhauneem)
Membre de bonne réputation

je suis d'accord et pas d'accord avec joray,

comme d'accord et pas d'accord avec Claude.

Sans attribuer des fautes aux médecins actuels,

je ne suis pas à l'aise pour dire qu'il n'y a pas de problèmes.

Or je ne reproche pas l'existence de problèmes, je reproche la non existence de description de ce qui pose soucis.

Comment essayer de résoudre des problèmes non posés,

déjà vachement plus dur que de rester sur des hypothèses et des doutes.

La définition de dyslexie sans lésion neurologique est pour moi incompréhensible.

Oui, il n' y a pas un gros truc au scanner-IRM, OK,

mais lisons la physiopath de la dyslexie par Habib, son dernier texte mis sur apedys:

"""Trop de “ matière grise” peut nuire !

Des travaux américains ayant étudié au microscope des cerveaux de sujets qui avaient été de leurs vivants dyslexiques, ont mis en évidence des anomalies de la structure du cortex cérébral. Ce cortex cérébral, qui s'étend sur toute la surface du cerveau sous la forme d'un ruban de 3 à 4 mm d'épaisseur, apparaît au microscope comme un amas de cellules organisées en plusieurs couches superposées. Chez le dyslexique, on note dans la couche la plus superficielle des amas anormaux de plusieurs milliers de cellules en excès, réalisant de véritables "verrues" corticales ou ectopies. Ces ectopies prédominent nettement sur l'hémisphère gauche, et plus précisément dans les zones dévolues au contrôle des fonctions du langage (région périsylvienne). Les données disponibles sur le développement normal du cortex permettent de dater au milieu du 6ème mois de gestation le mécanisme anormal ayant abouti à la production de ces neurones en excès et en position atypique.

Des anomalies microscopiques sur les voies visuelles et auditives

Les spécialistes de la microscopie cérébrale ayant analysé ces cerveaux de dyslexiques ont également découvert des anomalies cellulaires non plus au niveau de la surface corticale, mais dans la profondeur des hémisphères, au sein de noyaux appelés les corps genouillés qui servent de relais aux voies auditives et visuelles. Plus précisément, il existe une atrophie des grosses cellules de ces noyaux, dont on présume qu'elles servent à véhiculer un certain type d'informations sensorielles ayant trait à la perception globale et à la transmission rapide de l'information, tant auditive que visuelle. Ces anomalies magnocellulaires ont été rapprochées des constatations citées plus haut d'anomalies de la perception des informations visuelles rapides et à faible contraste chez le dyslexique.""

des zones avec trop et des zones avec moins,

on peut changer les noms et ne pas dire lésion,

mais enfin cela apporte quoi de dire pas lésion?

S'agissant du stress, d'accord avec Claude si le mome est amélioré définitivement en deux séances de kinésio ce n'était pas un dys,

je suis moins sur qu'un bilan centre du langage arrive à discriminer cela nettement.

Quant à la problématique des déficits attentionnels c'est aussi très largement une problématique de quels sont les capacités physiques de gestion du stress et là on voit bien le désert de la médecine actuelle dans l'étude de cette voie chez les dys.

Le lien mis par ? dans la file migraine le prouve, les biologistes pourtant formés aux hormones, à l'immunité, aux neurotransmetteurs, ces biologistes vous renverrons vers la méthode Couée QS l'article qui n'est pas nul, intéressant et tout aussi lamentable, oui c'est une lamentation de lire cet article, qui doit plaire à Joray.

Alors tant pis, faut continuer à réfléchir quasi seul,

n'attendez pas d'aides , vous serez au moins agréablement surpris si vous vous trompez.

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Posté : 03/04/2008 12:53
AnneNhauneem
(@AnneNhauneem)
Membre de bonne réputation

pour résumer ma pensée,

faire un bilan dans un centre du langage,

ou appeler un prètre exorciste,

j'ai du mal à discerner qui apporte l'aide la plus efficace.

cela doit ètre un petit coup de grisou, pas grave.

Faut que je consulte un psy pour voir d'où me vient ce sentiment d'absence d'aide des neuros.

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Posté : 03/04/2008 1:08
qriztoz
(@qriztoz)
Membre de confiance

bonjour,

je vais tenter de vous expliquer ce que je comprends pour le moment dans ses troubles.je crois que les troubles sont lié au mode de fonctionnement. un dys conçoit le monde de façon profonde, il ressent les choses, il doit comprendre ce qu'il fait, le sens. si il ne comprend pas se sens il va compenser vers une autre voie qu'il comprend, des troubles vont naitrent par ce qu'il n'a pas compris et de là les gestes seront maladroits les écrits globaux, il y aura rien de naturel et une obligation d'où le coté rebel. je pense que pour le coté phonétique du trouble c'est justement le fait de ne pas comprendre le sens de ce que l'on voit et de ce que l'on entend, Et ce lien est le sens entre ces deux partient,qui créée ces troubles et non pas un disfontionnement du cerveau. mais plutot le disfonctionnement est créer par le fait qu'il n'a pas compris le pourquoi, les connexion dans le cerveau ne se font pas un peu comme si on forcait les "dys" a fontionner d'une autre manière. essayer de faire rentrer une cléf d'une mercedes dans une BMW. je pense que ce que les scientifiques découvrent comme lésion au niveau cérébral ne sont que le résultat de ce manque de sens depuis l'origine du trouble. c'est un peu comme si les instrument de l'oreille ne se sont pas adapter à leur vitesse mais il ont du s'adapter a un style que l'on leur a donne. je reprends une autre image, faites du fitness si vous vous entrainer à une vitesse et un mode qui n'est pas le votre il y a de forte chance qu'a à un moment votre corps subisse des lésions, que ses lésions isolé agissant sur le moral, vous fasse arrêter. Biensûr à tout ça il faut ajouter l'état d'esprit qui doit etre ouvert à toute nouvelle expérience. je crois que c'est justement le côté naïf qui nous permet de vivre des choses, de faire des choses que d'autres ne pourront jamais faire. Je dis ça parce que je suis naïf, que pour moi tout est possible biensûr avec certaines limites, mais c'est justement ça qui m'a permis d'avancer et d'arriver là où je suis.

en même temps je vous donne de mes nouvelles depuis ma première séance de kinésiologie.

Je constate que je prends la parole dans les débats, donc plus présent dans un groupe où j'arrive à defendre mon point de vue même si je n'ai pas l'avis de tous.

je suis plus sensible , j'ai l'impression que je ressens l'humeur des gens et que j'ai du mal à apprecier en général leur compagnie parce qu'ils sont négatifs, pessimiste, fataliste et ça je le ressens très fort. Que je suis toujours en mode blagues.

je dors mieux, je suis moins perturbé dans mon sommeil, et du coup moins fatigué en journée.

Que par rapport à ce que j'ai dit plus haut, j'ai besoins de comprendre ce que je fais sinon mes troubles et conséquences refont sur face.

jeudi prochain je retourne le voir et je lui demanderai de travailler sur la partie phono. je verrai si il sais m'aider sur ce point.

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Posté : 03/04/2008 3:25
Joray
(@Joray)
Membre de bonne réputation

Claude, quand je parlais de lésions je donnais les explications du professeur de neurosciences en relation avec la dyslexie. Je n'ai pas dit non plus que les problèmes de lecture du petit garçon étaient réglés en deux séances. Je citais la maman qui disait que maintenant il préférait lire que dessiner. Je sous-entends que les qualités de dessinateur des dys sont une compensation ?

Je veux dire aussi que pour ce garçon conserve ce don, il faut maintenant qu'il trouve quelqu'un qui va lui permettre de le développer. Un don, ça se cultive.

Lac, comment dire qu'un enfant vit dans un environnement non stressant ? La naissance est déjà le plus gros stress de la vie ! C'est pourquoi on sait maintenant (on l'a su, mais on l'avait oublié) que l'enfant pour stopper sa fabrication d'adrénaline doit être mis sur le corps de sa mère qui doit lui parler, le regarder, etc...

Puis, il y a les stress de la crèche, de la maternelle et combien d'autres. Taper sur Google : Stress enfants.

La dyspraxie peut-être la conséquence d'un problème de développement moteur, de connexions dans le cerveau, etc... Quand j'ai un enfant qui a un gros problème d'écriture, je le fais écrire avant la séance. Et à la fin évaluation du progrès ! Il y a aussi de nombreux réflexes archaïques en relation avec ce problème.

Je me souviens d'une rencontre avec un orthophoniste et une psychologue quand j'étais enseignant. Ils nous avaient parlé d'une petite fille qui avait tout ce qu'il fallait pour lire. Et, déception au dernier moment, c'était à chaque fois l'échec. Le problème a été résolu quand la cause en a été trouvée : la maman ne savait pas lire et la petite fille ne voulait pas être supérieure à sa maman.

Et les ados qui ne font rien pour ne pas se couper de leurs copains ? Les causes d'un refus de travailler sont innombrables.

Joray

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Topic starter Posté : 05/04/2008 9:52
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