Bonjour houra,

Pas facile de lâcher prise!!!!!! 😀

Hé oui vous faites tout pour qu'elle ne tombe pas,ne se fasse pas mal,prévoyante attentive que nous sommes,

Mais nos loulous on besoin de tomber pour mieux comprendre!( pour certains)

C'est l'équilibre ,pas facile a trouver,ben oui comme vous dites c'est pas juste!vous passez tout votre temps physique,moral pour qu'elle soit heureuse et qu'elle atteigne son but,ses ambitions,mais.......là,elle a besoin d'air,ça peut être pesant aussi pour eux,

Comment vous étiez a 15/16 ans?

Oui c'est vrai tous ne sont pas rebelle contre les parents,mais tous les parents ne sont pas aussi trééééés protecteur 😀 .

Ne culpabilisez pas,c'est normal!

L'important c'est que vous gardiez la COMMUNICATION avec elle,il faut savoir contourner certaines choses,n'allez pas toujours au clache,même si c'est dur de les voir se mettre dans le mur.

Patience,patience.........

Comme je dis pour mon aîné,lui n'a pas de problème particulier,seulement 15ans bientôt.et que c'est parents sont nul et ne comprennent rien 😉

A 15 ans, il est difficile de toujours et encore s'investir, choisir entre travailler et se laisser un peu aller pour vivre.

Son projet d'avenir à sans doute perdu un peu de sa brillance par rapport aux efforts à fournir.

Un peu de temps, de patience une fois de plus pour laisser les choses avancer à leur rythme, une fois de plus.

Quoi que vous ayez fait ou que vous fassiez ne peut peser dans la balance, votre fille ne vous est pas redevable.

Après, il faut tout de même voir si une dépression ne pointe pas le bout de son nez.

GENE

Merci Lolo et Gene.

Que voulez vous dire par dépression ? Elle garde ses envies, mange comme 4, dort normalement. En fait, c'est de la bêtise. Elle ne m'est pas redevable, mais elle peut être reconnaissante et pas ingrate ? Evidemment, c'est un monde de rêve que je me fais. Ca serait plus simple qu'elle suive la voie tracée et qu'elle s'y tienne. Elle me dit souvent : tais, toi, tu parles trop (comme son père me le dit, mais une femme chiante, c'est bien non, on ne s'ennue pas, comme on dit) laisse moi réfléchir.

Je me sens seule en fait

Essayez peut être de vous retrouver sur un point commun, un ciné, les boutiques, une sortie, etc... pendant laquelle vous jurez à votre fille que vous ne parlerez ni dys, ni devoir, ni avenir, bref les sujets qui fâchent et essayez de l'écoutez et de l'entendre entre les lignes. Elle acceptera pour vous mettre au défi.

Méfiez vous de ne pas vous faire prendre à votre propre jeu, elle pourrait vous faire tournée bourrique.

GENE

Oui je rejoins Gene sur le partage avec nos enfants autre que l'école,la dys ou TDA,

C'est super important si on veut garder le fil de la communication,c'est assez fragile a cet âge sans en rajouter.

Je sais facile a dire mais pas facile a faire :-o.je suis en plein dedans aussi avec mon grand,et croyez moi je prend sur moi,j'ai tendance a démarrer au quart de tour,

On les aime,on leur donne tout,et en échange on a rien enfin pour moi aujourd'hui c'est comme ça,je me dit que c'est sain pour qu'il puisse couper le cordon,comme on dit.

Mais j'avoue que j'ai souvent pleuré face à l'insolence,l'indifférence,la désinvolture de mon fils,qui pour lui est dans sa bulle ou tout est dû.

Bref,vous n'êtes pas seule.bon courage.

Bonsoir,

Merci Lolo. Oui, ma fille veut aller au coiffeur, plutôt que s'avancer dans son programme, ou alors boude quand je la gronde pour la conduite accompagnée, parce que elle roule trop vite par exemple.

sinon, je lui dis "merci" quand elle a finit sa promenade au volant, c'est bien" Elle est trop sure d'elle au volant !

je rejoins assez les autres, on les portes on les soutient, mais il faut savoir trouver le bon moment pour lacher prise. Ses désirs d'étude qui étaient sans doute les votre aussi, ne sont peut être plus les siens et c'est compliqué quand on sent les espoirs que les parents portent en nous.

Le désir est une clef importante de la motivation et c'est à elle de trouver ses ressources. A quinze ans on se cherche, c'est un âge compliqué, votre fille a eu un parcours sans faute, jusqu'à present. Laissez lui le temps de souffler peut être, de regarder devant sans pression. Redoubler ce n'est pas aller dans le mur à cet âge là, c'est aussi prendre le temps de se poser, de lacher prise, et de se construire un projet à la hauteur de ses ambitions et de ses capacités.

Qui vous dit que si vous lachez elle ira dans le mur?

De quoi a t-elle envie elle?

Pour son avenir et aussi pour son présent.

Prenez le temps de vous poser, sans aller jusqu'au conflit, un repas entre fille, un ciné avec un verre pour discuter... Faire le point...

Et repartir sur des bonnes bases, et lacher prise sur certains objectifs...

Ce ne sont que des pistes de réflexions...

Bon courage.

Mélu

bonjour,

Combien de fois, j'ai pu lire les messages de mamans qui se mettaient en 4 pour leur enfant dys et au moment de l'ADOLESCENCE, patatrac, l'enfant ne répond plus à "l'espoir" des parents (dont je fais partie :b ) avec du recul, j'ai analysé. Un enfant dyslexique est comme tous les enfants. Au moment de l'adolescence, il a besoin de s'affirmer. Il va pousser les parents dans leur retranchement pour être sur qu'il est aimé. Il va même (pour certains) prendre des risques, voir de gros risque. Tout cela est normal. C'est même le signe que l'enfant est en bonne santé. Il grandit. Se cherche. Il cherche sa personnalité dans la bande de copains . Il doit gérer et comprendre: une modifications morphologiques profonde qui se manifeste en lui et qui ne comprend pas toujours.Un développement de nouveaux centre d’intérêt.Il a besoin de prendre des initiatives et avoir des responsabilités. Et surtout il commence à vouloir se détacher de la famille. Et c'est loin d'être simple. Il a des goûts musicaux, qui en général ne plaît pas à la famille. Il ne mange pas bien et ses goût vestimentaires changent et il a des idéaux et il remet en cause les valeurs de la famille. C'est l'affirmation de la personnalité. Et dans le même temps un besoin de conflits [opposition systématique]. Recherche de ses limites, et du système en général. Sans oublier le côté "petit copain" et tous les questions qui s'y rapportent.

Bref certains parlent du complexe d’Œdipe :b

On l'appelle comme on veut, le principal, c'est d'accompagner le jeune dans ce passage pas toujours facile car déstabilisant pour l'enfant et le parent. Votre jeune manifeste tout simplement son identité.

Je comprends tout à fait (pour être passé par là!) que ce n'est pas évident quand il arrête de travailler à l'école. Et pourtant, nous ne pouvons qu'accompagner. C'est le jeune qui apprend, si on le force, cela ne va rien résoudre. Vous être trop prêt affectivement. Peut-être un tiers (un adulte qui sera sans culpabiliser le jeune et sans prendre partie pour ne pas mettre le jeune à dos des parents)peut arriver à amener le jeune à comprendre la nécessité d'aller jusqu'au BAC. Il faut de la patience, beaucoup. Et un jour, elle comprendra et reprendra les chemins de l'école.

Mon ainé a mis 1an et le deuxième 2 ans !

bon courage 😉

Bonsoir,

Hourra, vous vous posez des questions, c'est bien normal. Vous avez besoin de comprendre. Alors si vous souhaitez une réponse , procurez-vous le livre «  Cessez d'être gentils, soyez vrais » de Thomas d'Ansembourg. Un très bon livre pour apprendre à se connaître et à comprendre l'autre. Ses conférences font le plein. Regardez les vidéos sur Internet.

Joray

effectivement très intéressant

Bonjour,

Claudia, la nécessité d'aller jusqu'au bac : que fait on si on a pas de notes suffisantes pour aller en BTS, écoles etc.. mais qu'elles ne sont pas non plus assez catastrophiques pour redoubler ? ON va en fac ou faut il redoubler en lycée ? ON fait un bac pro ? Je ne sais plus, surtout que le père me laisse me démerder comme on dit. Il y en a qui disent de choisir un métier, et de se motiver pour y arriver, tant pis in on y arrive pas .

mais il faut faire l'inverse : en fonction de son travail assidu, de ses capacités, de ses choix d'écoles année par année, c'est là qu'on arrive à dessiner un chemin. Tant pis pour les conseillers d'orientation, ceux qui exploitent les autres et se font un pactole dans ceci. Car s'autoanalyser quand on est adolescent, c'est un peu tôt, ils sont en changement perpétuel, alors pourquoi faire des tests de personnalité pour savoir pour quoi on est fait ?

Coucou houra,

Mais ELLE qu'est ce qu'elle veut????

Perso,j'ai une amie qui a fait bac+6 et 1 an université psy.

Elle a 43 ans aujourd'hui,et a tout plaqué pour se lancer dans la création costume de théâtre.elle en bave car il faut un CAP de couture 😕

Comment savoir quand on a 15,16 ans?des études pour se blinder?en espérant s'épanouir dans le métier choisi puisqu'on a un Max de bagage,

Faire un choix,pas facile,surtout quand on en bave plus que certain avec juste la moyenne!

Alors,faites lui confiance,QU'EST CE QU'ELLE VEUT?

Il existe des salons,des stages,pour l'aider a faire son choix.

Bref pas facile,bon courage

Bonjour Houra,

Même sans BAc, mais avec le niveau elle peut aller en BTS. Le plus important, il me semble c'est de connaître ce que souhaite votre fille. En allant sur le site de ONISEP, vous pouvez toutes deux voir cela ensemble. Il propose des fiches de poste, des vidéo témoignage et des tests pour connaitre suivant ses goûts vers quels métier elle peut se diriger.

Il n'y a que votre fille qui sait ce qu'elle veut. Peut-être tout simplement qu'on lui laisse un peu de temps ... :#