Forum

Faurum

Notifications
Clear all

psy et dys  

Page 1 / 3
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

Bonjour,

A la suite du commentaire de Gène, je me suis posée la question suivante: Pour être compris d'un psy, faut-il aller consulter une personne spécialisé "dyslexie" ? Ce que j'entends par là: quand je vais consulter, je parle des problèmes que je traverse afin de mieux les gérer. Le professionnel m'aide et je repars comme en 40 ! Je n'ai jamais dit que j'étais dyslexie. Et peut-être que j'ai eu tord ? La façon dont j'aborde" ces problèmes" seraient peut-être plus facile si j'allais consulter (la prochaine fois) un psy spécialisé dys, peut-être un psy cognitivo comportementaliste ? Je vais plus loin: les dyslexies peuvent -t-ils être compris d'un simple psychiatre ? :#


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

Quote
Topic starter Posté : 27/10/2011 1:06
gene
 gene
(@gene)
Membre célèbre

Je ne poserais pas la question comme ça.

Je dirais plutôt : a t on besoin de mettre la dys au centre de la refflexion psy pour améliorer la capacité à gérer le stress et les relations social?

Tout fini par s'enchevêtrer, un enfant dys n'a pas plus de problème psy qu'un autre. Mais un adulte dys qui a souffert dans ses apprentissages et dans la construction de son image, a surement besoin de plus travailler sur lui même pour passer au delà de son vécu douloureux.

Il faut comprendre pourquoi certaine situation sont voué à l'échec et amene le conflit ou la souffrance. Il est souvent impossible de relier ce fonctionnement à un événement, puisqu'il est plutôt associé à la récurence de petites situations mal vécues.

Un psy cognitiviste peut surement être plus indiqué. Mais un psy qui ne se focalise pas sur l'origine du problème, mais bien sur la modification de l'atitude à adopter pour résoudre le problème est tout aussi bien. Il est surement mieux que la personne consultée connaisse et reconnaisse un minimum la différence lié à la dys.

Une personne qui a une phobie, se fiche pas mal de savoir d'où elle vient, elle veut s'en débarrasser. Il existe des stages pour désapprendre la peur.

Il faudrait des stages pour désapprendre à ne pas avoir confience en soi. C'est différent de prendre confience en soi.

Anealiboron disait sur la file de Masako, qu'il fallait commencé par être capable d'accepter la critique. Je suis assez d'accord, nous avons tendence à entendre chaque commentaire ou critique sur notre travail ou façon de faire comme négative. Hors bien souvent, le commentaire ou la critique n'a pas se but. Il faut être capable de passer au delà de ses blessures d'enfant incompris, pour pouvoir recevoir la critique et analyser ce que l'on peut faire de cette critique. La critique peut être à rejetter car non fondé, elle peut être utilisé pour améliorer ou encore accepté mais ne pas blesser pour autant. Nous avons tous droit de critiquer une oeuvre dans un musée, cette critique ne doit pas pour autant détruire l'artiste.

Selon moi: Notre cerveau n'a pas correctement dévelloppé cette capacité à cause de notre vécu et nous empoisonne l'existence. Entre 15 et 25 ans, le cortex préfrontale se développe, la soufrence perturbe se développement et la chimie du cerveau reste figer pour provoquer du négatif. Le travail psy a pour but d'obliger la chimie du cerveau à se modifier. La modification des comportements, modifiera la chimie de cerveau en lui apprenant un fonctionnement plus positif.

Etre aidé dans sa démarche par un apport chimique (médicamenteux) n'est pas à exclure, le but est de lancé le changement et d'accélérer le procéssus pour ne pas renoncer avant l'arrivée des premiers résultats.

GENE

RépondreQuote
Posté : 27/10/2011 4:25
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Je suis entièrement d'accord avec Gene

Et je rajouterais en plus une petite observation.

On passe son temps ici à dire que nous avons un cerveau qui a des particularités, une manière de voir différente.... Ce n'est pas le mauvais rapport avec maman qui nous a façonné ainsi, mais la manière dont fonctionne nos petits neurones... Si le psy en face de toi ne sait pas que tu es dys, il va t'appliquer le shéma normal, or notre manière de raisonner est un peu bizarre, nous avons d'autres façon de percevoir l'univers, donc il va y avoir des incompréhensions entre le psy et le dys....

Ainsi si je lui dit que j'ai vu un jour sur une carte se lever les montagnes et se creuser les vallées... C'est sur, où il va me dire que j'ai beaucoup d'imagination où il m'envoie au cabanon... et pourtant non, c'est une particularité de voir qui me vient de ma dys...

Parfois en riant on me demande si j'ai fumé la moquette, parce que mes raisonnements sont un peu bizarres... Logiques mais bizarre. Désolée mais à part ce bon vieux tabac de la seita, je n'ai jamais rien fumé...même pas des lianes quand j'étais ado... Mon esprit est ainsi fait....

Attention je ne mets aucune échelle de valeur dans la manière de voir la réalité....Moi je vois d'une manière que d'autre ne verront pas... Mais je suis bien contente lorsque mon cher époux me fait remarquer quelque chose que je n'ai pas vu... Par exemple un héron cendré dans un champ....

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 27/10/2011 6:46
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

Gène,

"la dys au centre de la réflexion" Non, certainement pas. Mais diriger les dys vers des psy qui connaissent leur fonctionnement face aux relation sociales peut-être ?

je suis bien d'accord avec ton analyse. je pensais d'ailleurs avoir écrit cela, mais moins détaillé 🙂

Il existe des stages pour retrouver ou trouver la confiance en soie. J'y suis allée et j'en suis ressortie avec plein de notions et de nouvelles connaissances sur fonctionnement de l'humain qui me passionne et pourtant dès que je suis face à mes vieux démons, il n'y a rien à faire. Je sais que je progresse, mais j'ai bien peur qu'il me faudra la vie entière.

Toute critique constructive est utile, mais peut de personne savent le faire. Bien souvent l'autre pour respirer appuie sur la tête de son voisin et cela est dommageable sur une personne qui a vécue cela depuis l'enfance. Je n'ai aucune peur de la critique, quand je travaille je l'a pratique afin d'être toujours en phase avec les évolutions de mon emploi. Je pense que lors de notre enfance, les parents ont un rôle essentiel. Si cet équilibre est rompu, alors le déséquilibre forme une faille qui au fils des années s’agrandit pour devenir une réelle souffrance. Il faut alors, apprendre et accepter la guérison qui est longue mais possible.

Je suis bien d'accord avec toi Ane. Tous les psy ne sont pas prêt à nous entendre sur notre fonctionnement.


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

RépondreQuote
Topic starter Posté : 27/10/2011 11:06
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Donc tout le monde est d'accord, il faut un psy qui ait été averti des particularité de la dyslexie....

Oui, les parents ont un rôle essentiel, mais ces pauvres parents ne sont que des êtres humains, comme les profs, il faut bien à un moment ou à un autre se rendre compte qu'eux-même ont fait ce qu'ils pouvaient avec les moyens qu'ils avaient....Dans la majorité des cas ils ont fait au mieux qu'ils pouvaient....

Il faut apprendre à tourner la page en appréciant chacun, parents et profs, à leur juste valeur.... Ainsi, à mon époque, personne ne savait ce qu'était la dys... J'ai eu beaucoup de chance d'avoir la mère que j'ai eu, et finalement les profs que j'ai eu... Je ne fais qu'une exception, ma dernière instit qui est arrivé de France au mois de janvier 62, aucune pédagogie et un certain fond de sadisme. Finalement même elle m'a aidé sans le savoir.... Durant des années je me suis appuyée sur la colère qu'elle avait provoqué pour progresser... et c'est moi qui ai triomphé....

La colère peut-être une bonne chose si l'on sait la retourner et en faire un truc positif.....

Gene tu sais la première phrase que m'a hurlé mon fils quand je suis revenue le chercher lors des résultats du Bac :

"On les a eu"....

Je ne crois pas qu'il parlait des profs, il s'est très bien entendu avec la majorité, une fois la situation éclairci son pb de dys... Il parlait de l'institution et de certains autres profs. mais je crois que la hargne a été un excellent moteur, comme elle va l'être aujourd'hui.....

Je reconnais que pour avoir cette attitude qu'il faut avoir une bonne image de soi et qu'en la matière l'amour des parents ou d'autres proches peut-être essentiels.

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 28/10/2011 12:07
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

Bonjour Ane,

Je n'ai pas remis en cause ce que nous parents nous nous efforçons à faire auprès de nos enfants, à savoir accompagner le mieux possible. Ce que j'ai voulu dire, c'est qu'il suffit d'un déséquilibre: divorce, D.C, maladie... pour que l'enfant souffre. Ce qui est le lot de tous les enfants. Je pense que du à notre fonctionnement de tels traumas prend de suite de trop grandes proportions. Et c'est là, qu'il serait bon que l'enfant soit aidé par un psy qui connait le fonctionnement dys pour permettre de traverser cette période plus "normalement" La psychanalyse m'a aidé à mieux comprendre le fonctionnement de l'être humain et la philosophie l'âme humaine.


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

RépondreQuote
Topic starter Posté : 28/10/2011 12:59
gene
 gene
(@gene)
Membre célèbre

Claudia, je crois que professionnellement il n'y a pas tant de gens qui s'autocritique et cherche à améliorer leurs compétences. (idem pour le personnel)

Pour la plupart, la progression se fait comme ci comme ça sans grande reflexion.

Il n'y a que peu de gens qui passent leur temps à remettre en cause leur façon de faire et tienne compte de la critique. Ces personnes sont celles, le plus souvent, qui ont soufert, ont une mauvaise image d'elle même ou ont eu un parcours qui les a obligé à se remettre en question. Le questionnement est peut être même un frein dans la spontanéité et le rapport aux autres (qui sont perturbés par nos hésitations et notre attitude inhabituel)

Comme Anealiboron, je pense que tout le monde essaie de faire de son mieux, mais ceux qui se pose des questions pour essayer de faire mieux sont beaucoup moins nombreux.

De là, vient d'autres questions: Est il utile de se poser tant de question? être soi même sans douter ne résoudrait il pas le problème? Nous ne pouvons pas être plus que ce que nous sommes à un instant T :#

GENE

RépondreQuote
Posté : 28/10/2011 2:09
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Disons la démarche psychanalytique.... C'est-à-dire tâcher de faire le tour de soi-même avec le plus d'honnêteté possible.... Je sais je connais....étant donné que j'avais tellement de trucs à digérer que les pbs liés à la dys devenait une plaisanterie.... Mais finalement le plus grand travail, je l'ai fait toute seule....

Bon sur ce une fois que tu sais cela n'arrange pas tes vieux réflexes... Il faut vraiment avoir une nouvelle démarche pour contrôler les réflexes du cerveau... C'est pour cela que je pense que la démarche de la psy cognitiviste est plus positive que la démarche de la psy analytique...

Sur ce il y a un truc qui m'agace un peu, quelque soit la psy, on risque de donner un grand pouvoir sur nos vies à des gens dont le titre de médecin ne garantit pas l'intégrité....

Je sais toujours ma vieille méfiance à l'égard de l'humanité qui reparait.... Mais on ne sort pas d'où je viens sans apprendre que l'homme n'est ni ange ni bête et qui veut faire l'ange fait la bête...Merci Pascal....

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 28/10/2011 2:16
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

Gène,

Je fais sans doute partie des personnes qui pensent que nous pouvons toujours nous améliorer, afin de mieux nous comprendre, mieux comprendre l'autre, pour mieux aborder la vie qui est loin d'être un chemin tranquille. C'est plus agréable quand on est zen face aux situations difficiles de l'existence. J'ai peut-être tord? J'aime comprendre. 🙂


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

RépondreQuote
Topic starter Posté : 28/10/2011 2:31
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

Ane, tu viens de résumer ma pensée: "je pense que la démarche de la psy cognitiviste est plus positive que la démarche de la psy analytique...

Sur ce il y a un truc qui m'agace un peu, quelque soit la psy, on risque de donner un grand pouvoir sur nos vies à des gens dont le titre de médecin ne garantit pas l'intégrité....

Je sais toujours ma vieille méfiance à l'égard de l'humanité qui reparait.... Mais on ne sort pas d'où je viens sans apprendre que l'homme n'est ni ange ni bête et qui veut faire l'ange fait la bête...Merci Pascal.... "

Merci, je me sens moins seule ! :=! :b


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

RépondreQuote
Topic starter Posté : 28/10/2011 2:34
gene
 gene
(@gene)
Membre célèbre

Le fait de vouloir s'amélioré rend il plus heureux ou diminue t il la souffrance?

Il est plus agréable d'être zen face aux situations dificiles de l'existense, mais est il nécessaire de se poser des questions pour être zen.

Sur ce point, j'ai un doute.

Je suis comme toi, j'essaie toujours d'améliorer ma connaissance de l'autre et ma connaissance de moi même.

Les années passants, j'ai tout de même l'impression que la motivation pour laquelle nous le faisons n'est pas bonne et pas forcément utile.

Si nous sommes ainsi:

Est ce parce que nous avons souffert? De nombreuses personne ont souffertes et sont hyper intolérentes et ne se remettent pas en cause. Elles ne sont pas forcément malheureuses.

Est ce parce que nous sommes dys et/ou TDAH? Tout les dys et TDAH ne sont pas comme ça.

Parce que la génétique (épigénétique) nous a fait ainsi? C'est possible.

Et enfin peut on changer durablement ce mode de fonctionnement?

Perso, la prise de ritaline résoud quasiment toutes ces questions sans que je m'en rende compte. Je peux être moi sans me poser mille questions, ça facilite mes rapports aux autres et me permet de dormir profondément.

Oui, le travail avec un psy cognitif plutôt qu'analytique est utile. Mais il ne résoud pas le problème de fond, qui semble venir de notre fonctionnement biochimique au niveau du cerveau.

Je crois même que des non dys ont le même problème et comme nous ils doivent se battre pour que la chimie de leurs cerveaux ne viennent pas perturber (voir envahir) leurs perceptions, leurs interactions et leurs relations avec les autres et leur environnement.

GENE

RépondreQuote
Posté : 28/10/2011 3:22
anealiboron
(@anealiboron)
Membre noble

Mais pour ma part je suis heureuse d'avoir un cerveau qui biologiquement est formé pour se poser des questions... Mon très cher époux, me dit que dans le ventre de ma mère, je devais déjà m'en poser...

Je ne sais pas si c'est vrai, mais cela évite d'être malheureux... Quant on a pigé pourquoi on réagit de telle manière, cela évite de s'en prendre aux autres...et de le faire payer aux autres... J'ai donné merci...et en plus quand tu as réfléchis sur ta propre fragilité, tu comprends mieux celle des autres... Je ne te dis pas que cela te donne une patience d'ange, mais au point tu piges à peu près où cela coince et cela évite de dire ou de faire des grosses conneries....

Savoir si tout le monde est comme cela ??? J'en vois déjà deux autres ici.. Donc je ne suis pas unique... La majorité je n'en sais strictement rien....Mais je pense qu'il est dans la condition humaine de se poser des questions... Tout le problème étant que l'on ne se pose pas tous les mêmes questions...C'est la vie de chacun, son expérience qui va être la source de ces questions....

HI HAN !!!!!!!!!!!!!!!

RépondreQuote
Posté : 28/10/2011 8:42
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

Quand on est plus heureux on souffre moins, mais on peut aussi dire: Quand on souffre moins quand on est plus heureux ! Face aux difficultés rencontrées tout au cours de la vie, le fait de relativiser, de ne pas tout prendre à cœur rend l'existence plus légère et par ce fait notre corps tout entier souffre moins, il a moins de tensions et notre esprit est plus zen. Ne pas se poser des questions sur l'existence, c'est de pas ce demander pourquoi nous sommes sur terre. Et cela, personnellement je ne le peux pas. Je suis tellement curieuse de tout qu'une réponse bien souvent entraîne une autre question. La vie pour moi est un grand champs de connaissances auquel j'ai envie de participer en apprenant et en retransmettant.

Gène, tu peux développer ta phrase:" la motivation pour laquelle nous le faisons n'est pas bonne et pas forcément utile". :#

Les personnes qui ont souffert ou qui souffrent et qui par cette souffrance deviennent intolérant, je les évite. Ce n'est pas par méchanceté, c'est tout simplement que je me protège de la méchanceté. Les êtres aigris manipules et je suis pas costaud face aux manipulateurs.

Je ne pense pas que les non dys se posent autant de questions que nous sur les sujets qui nous intéresse. D'ailleurs bien souvent ils ne comprennent pas notre engouement pour tel ou tel activité. Ils nous prennent pour des extraterrestres. J'ai une peur bleue des médicaments, je crois que je crains de ne plus avoir le contrôle de moi même. 😕


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

RépondreQuote
Topic starter Posté : 28/10/2011 8:45
claudia15
(@claudia15)
Membre noble

C'est bien vrai ! chacun se pose les questions sur ce qui pour lui est essentiel pour son bien être


"la plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de se relever à chaque chute"
Nelson Mandela

RépondreQuote
Topic starter Posté : 28/10/2011 8:48
gene
 gene
(@gene)
Membre célèbre

La ritaline ne m'empêche pas de m'interresser à tout et même aux autres. Mais cette occupation ne prend plus tout mon esprit.

La zenitude peu donc être présente même sans répondre à toute les questions, malgré les incertitudes, les insatisfactions, les erreurs.

La motivation est là, nous cherchons des réponses, pas pour les réponses, mais pour éviter les tensions que l'absence de réponse génère sur notre organisme.

Je sais aujourd'hui qu'il est possible de se détendre sans réponse à mes questions, sans insatisfaction et sans scrupule.

C'est de ce fonctionnement que vient notre coté parano, maniaque du détail et aussi l'insatisfaction la mésestime de soi et j'en passe et des meilleures selon la personnalité.

Je crois même que c'est un cercle vicieux, plus nous trouvons de réponse, plus nous nous posons de nouvelles questions. Alors qu'il est possible de vivre en se questionnant un minimum sans souffrance. Vivre simplement en regardant le héron cendré sur la plaine et en gardant son imagination et sa créativité intacte.

GENE

RépondreQuote
Posté : 28/10/2011 9:55
Page 1 / 3
Share: